L'assassin royal : Les secrets de Castelcerf

Ce neuvième volume de la saga de Robin Hobb, Les secrets de Castelcerf n'est pas le plus palpitant en termes d'actions, mais il regorge de conspirations, d'intrigues et de mystères.

Ce volume est quelque part similaire au début des aventures de Fitz, il revient au château et malgré lui se retrouve contraint d'avoir la même vie faîte de mystères mais pas encore d'assassinats. En effet, il fait tout pour ne plus tuer mais se sent prêt à le faire avec fidélité pour son souverain.

Comme je l'avais dit dans une précédente critique, ses aventures sont clairement orientées par le Vif (une magie de communication avec les bêtes) contrairement aux tous premiers volumes qui plongeaient ses aventures dans l'Art (une magie de communication avec les hommes).

Tom Blaireau, Fitz de son "vrai" nom, est tourmenté sentimentalement par des amours, des difficultés avec sa famille et ses connaissances. Il est de plus en plus solitaire mais le plus dur est qu'il le reconnaît lui-même.

Comme d'habitude la fin de ce tome est insoutenable, laissant pesé un mystère d'ordre sentimental énorme entre son ami de toujours le Fou (personnage vraiment mystérieux) et lui. Qui est donc cet homme (cette femme) ?

Désolé, j'ai spoilé... ;)
Pas trop non plus parce que la question était déjà posé dans un ancien volume mais elle n'avait pas trouvé de réponse. J'aimerais que ce soit une femme, que Fitz se mette avec elle mais l'histoire ne dévoile pas grand chose. Et dans biens des cas, je croyais une chose pour la voir se faire démentir dans les pages suivantes...
Je me suis mis à la lecture du dixième tome. Rien d'exceptionnel pour le moment, les mystères sont laissés de côté pour une tâche plus importante. Fitz va encore se faire bousculer dans ses habitudes et peut être le verrons-nous en compagnie de sa famille...
Ca spoile, ça spoile ! ^^
Tcho, Hamtaro.
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