Il se dit que durant une nuit des années 70 du 20ème siècle, Orson Welles cherchait un point d\’observation depuis sa chambre de l\’hôtel Meurice, de l\’aide ou la consolation de la lune. Il avait passé des mois dessinant scrupuleusement pour avoir l\’effet visuel désiré que requiert sa vision de l\’histoire des décors de son adaptation du Procès de Kafka et venait juste de recevoir l\’information de qu\’il n\’y aurait pas d\’argent pour les construire.
Entre les larmes, il lui sembla voir pas une mais deux pleines lunes suivit de ses formes correspondant à deux visages d\’une montre de la gare désaffectée de Orsay, construit en 1900, ou il se sépare immédiat dans un taxi obéissant à son appel. Une fois sur place, il trouva tout ce qu\’il avait pour tourner un film, le monde de Kafka intacte: les bureaux des avocats, les tribunaux de justice, les interminables chemins…dans un style architecturale, plus tard définit pour soi même moderniste comme Jules Verne, qui ne pouvait pas avoir une meilleur esthétique de l\’écrivain tchèque.
Mais il découvre quelque chose de plus importante. Il eut la sensation que si la gare était un endroit idéal à photographier était du au fait qu\’il était pleine de douleurs, et de peines, le type de douleur, et de peine qui s\’accumule dans un lieu ou les gens attendent en partie que quelqu\’un remplisse ou mette un timbre pas différent à un billet de train avec tout son caractère angoissant, et tragique que provoque cette action comme ce fut le cas d\’Orsay ou des trains remplis de prisonnier étaient envoyés par les nazis dans les camps de concentration
A partir du premier Décembre 1986 la gare d\’Orsay est un Musée (http://www.musee-orsay.fr/) dédié aux arts plastiques du 19ème siècle ou le plat principal est la somptueuse collection de peinture impressionniste, la convertissant dans un des plus grandes attractions touristiques de la ville.
Pour commémorer son 25ème anniversaire, récemment s\’est complété un extraordinaire travail de restauration de l\’édifice qui, outre le fait d\’ajouter de nouvelles salles, et un cafétéria magnifique dessinée par Humberto, et Fernando Campana, suppose une révolution complète basée dans l\’utilisation de lumières électriques de nouvelles générations reproduisant la richesse de la lumières solaires, et un gris spécial pour les murs qui acquière des tons rougeâtres, ou verdâtres selon la lumière dans la manière de exposer les tableaux, desquels couleurs se sont réalisés jusqu\’à un extreme insoupçonnable et fabuleux.