Un peu décalé sur le sujet, certes, mais on n’y perd rien pour attendre.
Huit chaînes de télé, plus les relais, pour l’intervention télévisé de Nicolas Sarkozy un dimanche soir, ce n’est plus Nicolas et Pimprenelle qu’on nous propose sous la couette, mais du béton, gris et froid qu’on nous fourgue à overdose déployée. Si je suis en colère ? Mais quelle idée ! Par n’importe quelle ouverture non vitrée, fouettée par les courants d’air, c’est bel et bien d’une mise à mort de la démocratie dans l’arène médiatique dont il est question et pas d’autre chose ! Les responsables ? Ils sont là ! Les larbins ? La liste est longue et le débat interminable, mais il y urgence dans le pays. (lire la suite sur ruminances)