J’affirme mon sentiment de dégout à l’endroit de l’acte posé par les 5 sages du conseil constitutionnel du Sénégal. Car c’est la goutte de trop qui fera basculer notre pays dans la contestation la plus féroce de notre histoire. Accepter la candidature pour un troisième mandat du président Abdoulaye Wade, c’est accepté l’affront, l’injure, c’est insulté la république et ses fondements. Face à cet affront, la seule décision et posture à adopter est le refus du peuple à accepter ce coup d’Etat constitutionnel. Dire non pour sauver la face craquelée de notre démocratie dont la vitrine n’est plus reluisante. Dire non, pour résister face à l’oppression d’une bande de politiques en manque de valeur. Notre nation le Sénégal va mal, aujourd’hui plus qu’hier. Et l’heure est grave. Pour la sauvegarde de la paix et de la quiétude sociale, nous devons impérativement dire non et se battre contre l’injustice. La rue est à nous, investissons là donc. L'avenir nous jugera.
J’affirme mon sentiment de dégout à l’endroit de l’acte posé par les 5 sages du conseil constitutionnel du Sénégal. Car c’est la goutte de trop qui fera basculer notre pays dans la contestation la plus féroce de notre histoire. Accepter la candidature pour un troisième mandat du président Abdoulaye Wade, c’est accepté l’affront, l’injure, c’est insulté la république et ses fondements. Face à cet affront, la seule décision et posture à adopter est le refus du peuple à accepter ce coup d’Etat constitutionnel. Dire non pour sauver la face craquelée de notre démocratie dont la vitrine n’est plus reluisante. Dire non, pour résister face à l’oppression d’une bande de politiques en manque de valeur. Notre nation le Sénégal va mal, aujourd’hui plus qu’hier. Et l’heure est grave. Pour la sauvegarde de la paix et de la quiétude sociale, nous devons impérativement dire non et se battre contre l’injustice. La rue est à nous, investissons là donc. L'avenir nous jugera.