Pour une fois, que je me permets de lire un ouvrage, de Georges Bordonov, soyez-en sûrs et certains, titré, “Mazarin, L”argent et le pouvoir”, réédité en 1997, par le “club France loisirs”, avec l’autorisation des éditions “Pigmalion/ Gérard Watelet à Paris”, je finis par me rendre à l’évidence, que seule la lecture pouvait vaincre les préjugés et nous booster, de l’univers des préjugés, quoi que; cet ouvrage, que d’aucuns récuseraient à tort, comme l’une de mes sources d’inspiration et le vivier de mes chevauchées intellectuelles, dans l’optique de laisser éclore et susciter l’émergence, des idées innovantes, pourquoi pas leurs redonner vigueur, et les doter d’un objectif, alors que j’en suis à la première lecture d’un ouvrage de cet auteur; donne une prétention très large,à mes prises de proposition, tout en conférant un créneau à l’incrustation de mes idées.
Un ouvrage divisé en 14 parties, une annexe, des notices bibliographiques, du 17° siècle, tablant sur les faits historiques, sociologiques et politiques, préludes à l’avènement du plus grand Roi, que la France aie connu, à savoir Luis XIV. Plus grand Roi, pourrais-je reprendre, après un constat historique, largement approuvé par l’éminence des recherches consacrées sur l’histoire de la France, y compris, la fascination qu’il exerça sur les Français, son époque, le mode d’organisation administrative, politique et économique de son royaume. Ceci dit, j’ai tenu à relever un passage dans l’ouvrage, mis en exergue par G. Bordonov, pour ressortir la grandeur d’âme, d’esprit et le sens de l’état, incarné par celui qui fit de la France, étranger qu’il était, la plus grande nation d’Europe au 17° siècle, et contribua à l’ériger en nation d’une redoutable puissance, au service d’un roi jeune, rayonnant et qui allait faire régner son ombre sur le monde. Cet homme, d’origine Italienne, du nom de Jules Mazarini, Cardinal Mazarin, apparaît sans conteste, alors qu’il demeura à l’ombre de Richelieu, et le précéda, comme celui qui a fourni, à la France les agrégats conceptuels diplomatiques et politiques, qui fit de la France, la plaque tournante de la politique et de la diplomatie, Européennes. A ce propos, j’ai relevé un passage dans l’ouvrage, qui illustre fort bien, son apologie, et l’approche que s’en fait G Bordonov, je cite: ” La victoire de l’intelligence et de la ténacité, sur les passions politiques”, il rajoute ceci, je cite: ” Il réussit le rêve des rois Français, de François 1er à Louis XIII et Richelieu, à savoir” abaisser les Habsbourg d’Espagne et d’Autriche”. Mazarin, bien portant le titre de cardinal, oeuvra en politique et en fit son art, pour s’enrichir, en enrichissant la cour, étendre son influence et celle de la France, ainsi que ses affidés et ses collaborateurs, les plus proches. De là, à revoir des noms passés et des époques en boucles, au delà, de celui de Richelieu; comme Nicolas Fouquet, son surintendant des finances qui fut embastillé, Colbert un autre surintendant, le Duc d’Henghien, Anne d’Autriche ou encore la fronde, le blocus, la nuit des rois, et la Corrèze y apparaît, j’en passe…., et qui me fascinèrent en lisant, l’oeuvre, nous confortent dans notre acception du dénouement actuel de la politique en France, sans oublier la tentative de certains, de faire répéter l’histoire. En conséquence, G.Bordonov, qui serait né, en 1920 possède, une plume d’une rare intensité, tellement l’auteur paraît prolixe, fécond, maîtriser son sujet avec maestria, fait preuve d’esprit de concision et de prospection historiques, qui défient le temps et les oeuvres qui s’y consacrent. Par ailleurs, je reconnais que jamais, je n’avais lu, un auteur Français, avec lequel, j’ai en partage pas mal de similitudes, au point que l’on s’initie à travers et partage, les mêmes vocables. En témoignent, à titre d’exemple ma découverte de deux terminologies, au sein de cette oeuvre, lesquelles je n’avais jamais découvert l’existence, même dans le dictionnaire, avant et que je revendiquais l’apparition dans “le Petit Robert”, après que j’en ai fait l’emplois, vu aussi que je suis adepte des extensions, parce que je m’y emploie à merveille, à savoir: “Fulmina” dont l’extension me permit d’obtenir “fulminer”, et “Magnificence”. A retenir, que G Bordonov, utilise “Fulmina” et non “Fulminer”. PS: En parcourant mes blogs, on peut relever toutes les terminologies, que je revendique et qui ont fait leur apparition dans “Le Petit Robert“. Parmi ces blogs, je pourrais citer au delà celui-ci: http://maxifree.blogspot.com http://bouba1975.skyblog.com http:// dembobah.skyblog.com