L'article reprend une étude faite en Ile de France.
Les chiffres effrayent et poussent chacun à essayer de s'en prémunir.
Heureux de faire ce boulot mais ...
Heureux de travailler dans un cabinet de groupe et de m'offrir une journée d'arrêt dans la semaine en plus du WE.
Heureux de prendre la moitié des vacances scolaires.
Un luxe qu'il faut se "payer" en gagnant moins en définitive mais qui permet de rester debout.
Ces problématiques devront être au coeur des prochaines décisions concernant les politiques d'aide à l'installation.
Personne n'ira s'installer là où il risquera ce fichu burn-out.
Comment ne pas les comprendre.
Article de métro: Médecins au bord de la crise de nerf