Preview Disney de John Carter en présence de Taylor Kistch et Jim Morris

Par 3moopydelfy @3Moopydelfy

Certains rêves de gosses prennent parfois vie sur grand écran, John Carter en est un. Edgar Rice Burroughs est le père non seulement le père de Tarzan mais un écrivain de talent. C’est un nom connu des amateurs de littérature de Science-Fiction et du style space-opéra. Il a bercé de multitudes enfances dont la mienne. Alors quand Disney m’a offert la chance d’assister à une présentation du prochain film tiré d’une de ses oeuvres, je vous raconte pas comment j’ai sauté de joie. Un petit sentiment d’excitation, d’attente et de crainte s’est mélangé en moi. J’avais franchement peur de voir des images version Choc des Titans.

John Carter s’inspire de la « Princesse de Mars ». C’est le premier film « live » d’Andrew Stanton, cofondateur de Pixar et réalisateur du splendide Wall-E.


Jim Morris a présenté 5 scènes extraites du long métrage. Une présentation qui a su me mettre l’eau à la bouche avec le rappel de l’inspiration comics et ouvrage. Des artworks et des images inédites défilent à l’écran. Couronnée par un trop court échanges de questions réponses avec Taylor Kitsch. Psst la grande dame, si je n’avais pas mis dans mon top d’acteurs à suivre le héros de Friday Night Lights, après l’avoir vu de visu, j’en reste sans voix. Nettement plus séduisant dans la vrai vie que dans son rôle de John Carter Conan de la planète Mars. C’était ma petite parenthèse midinette. Un réalisateur pour lui proposer un rôle de vampire est présent dans la salle? Il ferait de l’ombre aux héros de True Blood moi je vous le dis.

Preuve en image:

Les vastes étendues, les déserts et les personnages laissent entrevoir un univers intéressant. Allez savoir pourquoi, l’ensemble m’a collé une irrésistible envie de revoir Dune après la projection. J’ai juste peur de l’effet Avatar (qui visuellement est magnifique mais punaise la trame m’a pas séduite pour un sou avec son côté Pocahontas). La rencontre avec les Tharks attisent la curiosité, extras-terrestres de 3m verts avec un design bluffant. Les morceaux montrés présentent de l’action, de la romance, un visuel attirant et frustre un peu. A la fin, l’impatience du gamin devant le sapin de Noël m’a prise. J’ai hâte de découvrir John Carter en entier. Taylor Kitsch a un côté too much en tenue de gladiateur martien. Tout air de ressemblance avec Schwarzenegger est involontaire, non? ni avec le petit personnage qui portait un casque en crête dans les Bugs Bunny de ma jeunesse, si? Rassurez moi. Les muscles et la tenue, j’ai revu un mixte de ses 2 personnages  avec un pincée de Musclor (les maitres de l’Univers pour les vieux dinos des années 80 comme moi)




Du coup, je suis impatiente de voir la suite, pas pour le physique tape à l’oeil de l’acteur principal. Simplement ça bouge, ça en jette et le côté retour dans le passé du héros, j’étais scotché devant le réalisme et le jeu des protagonistes. Si j’osais, je dirais que l’actrice Lynn Collins a un potentiel séduction supérieur. Vivement le 7 mars et le sortie du film sur nos écrans pour juger en totalité si une perle de la SF a été adapté avec talent ou si c’est une daube finie. Puis je suis contente comme tout qu’une réédition de John Carter paraisse en mars pour la sortie sur grand écran. Si vous cherchez de la lecture, n’hésitez pas à le mettre sur votre liste.