…de Pierre Falardeau, exclamée sur son lit d'hôpital :
« Je n'arrive plus à lire. Je ne peux plus écrire. J'en ai assez. Si je ne peux plus lire et écrire, à quoi ça sert? Je peux juste écouter la télé, changer de poste à l'infini, m'abrutir avec le câble… Tabarnak, la télé, c'est pire que la morphine. Il me reste juste à tenter de me suicider avec le câble. » (Un très mauvais ami, lettres de Pierre Falardeau à Léon Spierenburg, traduites par Jean-François Nadeau)
Lo x