Sous la pression de l’actualité, la France a exilé sa « première de classe » au FMI, histoire de remplacer très vaguement son ex-patron empêché et empêtré.
Il paraît qu’elle est intelligente la grande Lagarde et qu’on peut se fier à ce qu’elle raconte. Vraiment ?
Le 20 août 2007, l’ex ministre de Sarko annonçait non sans une certaine satisfaction au NouvelObs: » le gros de la crise est derrière nous« . C’est ici si vous n’y croyez pas.
Et que faisaient les banquiers-traders et autres pavloviens de la finance dans la même journée ? Ils faisaient monter la bourse, ces ânes, … tout heureux d’y croire.
La capilotade dans laquelle se trouve la France actuellement semble donner tort à la longue et rigide prêtresse.
Encore une qui n’y comprend en fait rien ? Ou a-t-elle simplement obéi à son vénéré petit chef en prononçant cette oraison?