L’étude montre ainsi que les plus pauvres faisant partis de la classe moyenne brésilienne, restent très vulnérables et ont besoin d’aides sociales du gouvernement pour subsister à leurs besoins. La semaine dernière, le ministère en charge de combattre la faim au Brésil a identifié 320 000 familles ne recevant aucune aide et ne faisant pas partie du programme social chargé d’aider 17 millions de brésiliens à sortir de l’extrême-pauvreté. Néanmoins, les chiffres présentés par Datafohla sont positifs. La pauvreté diminue au Brésil et l’extrême-pauvreté ne représente plus que 1% des foyers du pays.
Benjamin Esposito