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(Et ce n’est pas parce que j’ai lu l’information dans un journal de droite que je dois m’abstenir de vous en voir partager le déplaisir, hein ! Mais pour faire passer la pilule, un bonus pour vous à la fin… ça vaut le détour)
Selon l’OIT, 1,1 milliard de personnes sont au chômage ou vivent sous le seuil de pauvreté.
Le constat est alarmant: «Malgré les efforts acharnés des gouvernements, la crise de l’emploi ne connaît pas de répit: un travailleur sur trois dans le monde, soit 1,1 milliard de personnes, est chômeur ou vit sous le seuil de pauvreté», déplore Juan Somavia, directeur général de l’Organisation internationale du travail (OIT).
Sur le front de l’emploi, la crise continue de faire des ravages: le monde comptera en 2012, selon le rapport mondial de l’OIT, 200 millions de chômeurs contre 197 en 2011 -soit un taux de chômage à 6 % de la main-d’œuvre-, ce qui représente 27 millions de plus depuis le début de la crise. «Notre scénario le plus pessimiste, si la crise s’aggrave dans la zone euro, projette jusqu’à 206 millions de chômeurs», précise l’un des auteurs du rapport, Ekkehard Ernst. Cela, sans compter les personnes privées d’emploi mais qui ne rentrent pas dans les statistiques car elles ne sont pas en recherche active. «Cela équivaut à 29 millions à l’échelle mondiale susceptibles d’amplifier encore les statistiques», ajoute l’économiste. (suite et source)
Oui, et ? Une fois le constat posé, que fait-on ? On arrête ou on continue ?