La crise revue sous une autre forme!!!

Par Basicinstinct82

La crise revient dans le girond des réflexions et débats consacrés à élucider, les approches de solution, jusque là, proposées,  en vue de repenser toute la structure de l’économie mondiale, en son volet, financier, quoi que de par l’incapacité et l’incohérence des dites approches, et en lieue et place d’une analyse suffisamment esquissée, l’on s’emploie à s’insurger contre les tentatives d’en identifier les causes, les tenants et aboutissants, au seul motif, que les études qui s’y consacrent et les perspectives qui se profilent, peinent encore, à rehausser sa résorption selon des procédés innovants.

Ainsi, la crise étant revue sous une autre forme, nous incite à partager ce lien émanant, d’une plume, d’un libéral convaincu, sous adjucation néanmoins d’un débat ouvert et très prégnant sur les questions sociétales, en ce qu’elles ont de fondamentalement, reliée à la résolution des déterminations contemporaines à tout point de vue. Il résulte de cet état de fait, et de cette pige, une réaction assez contrastée, autant dans sa propension que dans sa tentative de dispense légale, des injonctions infligées au monde de la finance.

Sa propension:

Partant, son auteur qui s’inquiète, selon lui, d’un absence de débat autour de la crise majeure de ce début de siècle, s’offusque de façon récurrente, du traitement et l’interprétation fait de la crise par les journalistes, le monde de l’économie, les chercheurs et les politiques, en ce sens, qu’il finit par se rebiffer contre les théories, telles que le Keynésianisme, à laquelle, il assène un sérieux coup d’assommoir, lorsqu’il expose, ses contributions à l’économie. Des contributions qu’il qualifie, de peu entraînant, en terme de relance, de croissance, de productivité, tout en la réduisant, à un postulat, et contrairement, aux connaissances jusqu’à nos jours dispatchées, qui n’aura produit aucun effet bénéfique sur l’économie mondiale, à la sortie de la seconde guerre. Cette position incarnée, en, vue de ressortir, au sens ultra libéral, du terme, les causes probables de la crise, fait naître un autre débat, celui qui nous ramène à nous focaliser, sur l’approche faite de la crise par les différentes doctrines et écoles d’économie, assortie d’une étude comparative, des effets coercitifs produits, à l’échelle de l’humanité à chaque fois qu’une crise d’une telle ampleur pointe à l’horizon. Elle a en définitive, cette pige bien évidemment, le mérite d’avoir poussé le débat, au point de remettre en question, la validité épistémologique des théories et doctrines et leurs légitimités scientifiques.

La tentative de dispense légale:

L’auteur de la pige, étant un libéral convaincu, s’atèle à ressortir inconsciemment, la corrélation entre le politique et l’économie, vue que les solutions préconisées, pour désamorcer la crise, qui ne sont certes, du goût des libéraux, en sachant que la réglementation, en l’occurrence la politique monétaire dans ce cas de figure, qui serait à l’origine de  la crise, et bien que pouvant être traité d’interventionnisme, à travers sa mise en oeuvre par le gouvernement,  par les libéraux, ne saurait nous échapper de vue, d’où une combinaison dosée entre interventionnisme pour juguler la spéculation, et une souplesse pour laisser le marché s’autoréguler.

En soutenant illico, l’inexistence d’un débat de fond sur la crise, revendiquant le libéralisme, alliées aux vertus de la liberté et la responsabilité, nonobstant, peut être les effets d’entraînement et de coercition de la réglementation sur toute la sphère de l’économie, à l’image des subprimes,  il exhorte à prendre position, pour mieux élaguer, la suspicion de la capacité réelle à innover. De là, à pourvoir à l’incitation pour une nouvelle approche méthodologique, à la naissance d’une nouvelle théorie, voir doctrine et cloisonner la crise dans le créneau d’une approche multidisciplinaire, me paraissent vaquer à apaiser les inquiétudes des plus pessimistes!!!

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