Tout au bout de l'étang, le vieux saule a rendu l'âme, rongé par les champignons, les bébêtes xylophages et les quenottes des castors. Il s'est effondré, terrassé par les coups de butoir de Joachim et autres rafales de vent quelques jours plus tard. Il a plongé, le nez dans l'eau froide, révélant sous sa vieille écorce son bois noirci par le mycélium et des creux labyrinthique qui accueillaient guêpes ou frelons. C'est sûr, il laisse un vide dans le paysage !