Once Upon a Time // Saison 1. Episode 10. 7:15 AM.
Après un épisode centré sur Hansel et Gretel, voilà que Once Upon a Time revient sur l’un de ses personnages principaux : Blanche Neige (ou Snow White pour les intimes qui regardent la série en VO). Alors se concentrer sur Mary Margaret (dans Storybrooke) et son amour inconditionnel pour David qui la fait se lever tôt le matin tout ça pour être sur de le croiser au café du coin alors qu’elle est entrain de lire « L’île Mystérieuse » de Jules Verne, moi je trouve ça fascinant. En tout cas, j’ai adoré cette partie de l’épisode. Même si c’est un peu (beaucoup) rose, que tout est beau et que l’amour et les oiseaux chantent, cela reste malgré tout de bonne facture. J’aime les bons sentiments et cette série me rappellera toujours mon enfance quoi qu’il se passe. C’est ça aussi la beauté de cette série : rappeler notre enfance. Et donc Mary Margaret tente de séduire David du mieux qu’elle peut (car elle ne peut pas trop en faire surtout que David a déjà une femme et qu’elle pourrait bien… être enceinte). J’ai adoré la scène avec elle dans le supermarché et Regina. C’était vraiment hilarant quand cette dernière demande à Mary Margaret de se mêler de ses propres affaires.
Mais l’histoire ne s’arrête pas là car bien évidemment le baiser tant attendu entre Mary Margaret et David arrive à la fin de l’épisode, comme si c’était l’apologie même de l’histoire. Sauf qu’il va y avoir des baleines sous cailloux, je le sens bien. Cela ne peut pas rester aussi platonique (et puis les deux cocos doivent mettre un bébé en route, j’ai nommé… Emma). En tout cas, tout ce tourne autour à Storybrooke m’a beaucoup plus et j’en veux encore plus (oui, je suis très gourmand). Mais que diriez vous aussi d’aller faire un tour à Storybrook, le pays des contes de fées. Quand même, je pense que c’est la partie de l’épisode la moins bonnes (derrière les références à Lost – oui, j’ai fais un tour sur la Once Upon a Time Pedia – et je vais vous en faire une petite liste exhaustive bien évidemment). J’aime bien la partie conte car c’est une partie de la série qui est fascinante avec des personnages toujours bien représentés. Mais je sais pas, disons que j’accroche pas trop à Snow White façon Mary Jane dans les bois. C’est pas trop la nature du personnage.
Je préfère la Snow White du dernier quart de l’épisode avec ses 7 nains (enfin, des nains plus grand qu’elle, qui l’eût cru – mais ce n’est qu’un détail –). Et oui, car on va avoir l’occasion de voir les 7 nains (et c’est pas trop mal). Bien évidemment, Snow White qui se retrouve emprisonnée c’était pas mal, et puis son petit accord avec Rumpelstilskin (j’ai adoré la scène au bord de l’eau, très jolie dans le noir, disons que niveau lumière c’était bien géré alors que Once Upon a Time n’est pas un modèle de réalisation d’habitude). Elle veut éviter de se faire plus de mal, et va donc accepter une potion qui pourra la guérir de son amour pour Prince Charming. Le cliffangher de la fin laisse donc pantois et j’ai hâte de voir la suite de la série afin de mieux comprendre ce que l’on nous raconte. Mais dans cet épisode clairement c’est la nature Storybrooke qui est la mieux gérée avec des personnages qui sont là pour nous livrer certes un trop plein d’émotions mais c’est du bon alors on ne boude pas son plaisir. Après tout, c’est une série très divertissante aussi bien quand elle nous propose de l’action à tire larigot ou bien qu’elle nous propose de l’amour à l’eau de rose.
Et je vais donc terminer sur le fameux nouvel homme qui a débarqué en ville en guise de fin d’épisode précédent. Mais qui est il ? Que renferme la boite qu’il porte avec lui ? On ne sait rien du tout sauf qu’il est mystérieux et qu’il agace Henry – tout comme Henry agace de plus en plus les téléspectateurs par sa présence (oui, je vous avais pas dit mais le petit, il était mignon et sympa au début, mais là je commence à saturer un peu) –. Aller c’est mystère et boule de suie. Et puis le clin d’œil du petit Chaperon Rouge (Red Riding Hood en VO pour les plus anglophiles). Cela faisait un petit bout de temps que je n’avais pas parlé de références de Lost dans Once Upon a Time et je vais vous faire une petite liste. La première reste que j’ai appris que Damon Lindelof (un grand manitou de Lost) est une voix off dans l’épisode qui annonce la grande tempête tropicale (digne de l’épisode de la tempête dans Desperate Housewives). Ensuite on peut associer la cabane abandonnée à celle de Lost ou encore l’oiseau qui est là pour envoyer un message (comme avec Claire dans Lost) et enfin Abigail et son test de grossesse négatif comme Kate (mais là, je suis plus dubitatif, c’est paranoïa et conspiration… tout est Lost à qui veut bien Lost).
Note : 7/10. En bref, un épisode plutôt bien maîtrisé d’un côté, un peu plus bancal de l’autre mais cela reste toujours aussi sympathique et agréable.