Lesprofessionnels, notaires, spécialistes et voyants en tous genres s’accordent,en ce début d’année 2012, pour prévoir une baisse des prix de l’immobilier. Maisen réalité, bien difficile de dresser les véritables perspectives du marché en2012, et surtout de manière uniforme, sur l’ensemble du territoire. En effet,l’activité en province ne peut être comparable à celle de la région Parisienne,qu’il s’agisse de la première ou deuxième couronne, et encore moins à celle deParis intra-muros.Ilest vrai que les idées reçues jusqu’au premier semestre 2011 étaient queglobalement les prix de l’immobilier ne cessaient d’augmenter.Or,selon certains indices communiqués par les notaires, on constate tenant comptede l’inflation, que depuis 2008 les prix baissent en province sur 74 des 86départements. Ainsi, il est probable que fonction de la situation économique,et du net resserrement des critères d’accès aux crédits des établissementsbancaires, que faute d’acquéreurs finançables, les prix continuent à baisser de10 à 15%.Concernantla petite et grande couronne de la région Parisienne, la situation sembledifférente. En effet, les prix de ventes qui se sont certes stabilisés en find’année, apparaissent tout de même sur 2011, en hausse de plus de 8%. La fortedémographie de ces départements, accentuée d’une plus grande demande qued’offres, ne devrait pas permettre, sauf catastrophe concernant l’évolution destaux bancaires, un énorme bouleversement des prix.Néanmoins,les perspectives économiques et la suppression du prêt à taux zéro+ pour lefinancement de l’ancien, devraient tout de même, faute d’entrainer les prixvers une baisse significative, au moins les stabiliser. Quantà notre capitale, ville des lumières, dont l’immobilier augmente de plus de 15%l’an depuis plus d’une décennie, elle bénéficie de son attrait unique auprèsdes étrangers. Il est donc bien difficile devant l’afflux des acheteurs venantdes pays émergents, d’anticiper sur l’évolution du marché. En effet, la criseéconomique, bien que mondiale, n’a jamais dans ces pays, autant créé denouveaux riches…
2012 Année de la baisse des prix de l’immobilier?
Publié le 23 janvier 2012 par Vincent @VincentPreuvotLesprofessionnels, notaires, spécialistes et voyants en tous genres s’accordent,en ce début d’année 2012, pour prévoir une baisse des prix de l’immobilier. Maisen réalité, bien difficile de dresser les véritables perspectives du marché en2012, et surtout de manière uniforme, sur l’ensemble du territoire. En effet,l’activité en province ne peut être comparable à celle de la région Parisienne,qu’il s’agisse de la première ou deuxième couronne, et encore moins à celle deParis intra-muros.Ilest vrai que les idées reçues jusqu’au premier semestre 2011 étaient queglobalement les prix de l’immobilier ne cessaient d’augmenter.Or,selon certains indices communiqués par les notaires, on constate tenant comptede l’inflation, que depuis 2008 les prix baissent en province sur 74 des 86départements. Ainsi, il est probable que fonction de la situation économique,et du net resserrement des critères d’accès aux crédits des établissementsbancaires, que faute d’acquéreurs finançables, les prix continuent à baisser de10 à 15%.Concernantla petite et grande couronne de la région Parisienne, la situation sembledifférente. En effet, les prix de ventes qui se sont certes stabilisés en find’année, apparaissent tout de même sur 2011, en hausse de plus de 8%. La fortedémographie de ces départements, accentuée d’une plus grande demande qued’offres, ne devrait pas permettre, sauf catastrophe concernant l’évolution destaux bancaires, un énorme bouleversement des prix.Néanmoins,les perspectives économiques et la suppression du prêt à taux zéro+ pour lefinancement de l’ancien, devraient tout de même, faute d’entrainer les prixvers une baisse significative, au moins les stabiliser. Quantà notre capitale, ville des lumières, dont l’immobilier augmente de plus de 15%l’an depuis plus d’une décennie, elle bénéficie de son attrait unique auprèsdes étrangers. Il est donc bien difficile devant l’afflux des acheteurs venantdes pays émergents, d’anticiper sur l’évolution du marché. En effet, la criseéconomique, bien que mondiale, n’a jamais dans ces pays, autant créé denouveaux riches…