24 % entre 2010 et 2015. Aujourd’hui, le groupe français remet ça en annonçant une hausse de 30 % sur cinq ans, soit une hausse de 6 % par an jusqu'en 2016.
Pouvoir d’achat vs investissement
Le groupe se défend en indiquant que ces hausses sont logiques, "compte-tenu des investissements prévus par l'électricien public". EDF a également précisé que si la France fermait des centrales nucléaires pour les remplacer par de nouveaux moyens thermiques ou renouvelables, la hausse des prix serait encore plus forte.Les futurs gouvernements, qui auront à trancher sur l'évolution des prix de l'électricité, seront donc confrontés à des choix difficiles entre favoriser le pouvoir d'achat des Français et la capacité d'EDF a investir dans les centrales nucléaires et dans les énergies renouvelables comme l’éolien et le solaire.