C’est dans un lieu vivant (certainement le plus vivant de Paris) que nous nous sommes rendus ce dimanche. Un lieu peuplé de jeunes et mois jeunes, de danseur de hip-hop, de promeneurs, de lecteurs, d’enfants… Un lieu plein de vie où les enfants et les adultes ont pris un plaisir fou à regarder et expérimenter. Un lieu ponctué d’oeuvres à voir comme des histoires, comme des supports à l’expérimentation : celles de Leandro Erlich, Ann Veronica Janssens et Michel Angelo Pistoletto. Autant d’oeuvres que de « jeux » aux yeux des enfants. Autant d’oeuvres que de parcours où nous nous sommes perdus, où nous avons joué, déambulé et recommencé à se promener !
A voir absolument, le 104 devrait être une halte obligatoire à quiconque est de passage à Paris !
PS : Le labyrinthe de Pistoletto ferme ses portes dans une semaine !