Magazine Cinéma

Shark Zone

Publié le 22 janvier 2012 par Olivier Walmacq

shark zone

genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2003
durée: 1h25

l'histoire: Des requins blancs traumatisent une petite plage californienne. Jim, qui a vu son père dévoré par l'un d'eux, doit les affronter pour sécuriser la baignade.

la critique d'Alice In Oliver:

Et oui, les grands requins blancs continuent d'inspirer le cinéma horrifique ! Preuve en est avec Shark Zone, réalisé par Danny Lerner en 2003.
A noter que le film est également connu sous les noms de Shark Zone: Alerte aux requins et de Mort au Large, à ne pas confondre avec La Mort au Large, le nanar signé par Enzo G. Castellari.

Pour le reste, Shark Zone est un film qui nous vient de chez Nu Image, une production spécialisée dans les films bis et nanardeux.
Hélas, Shark Zone n'échappe pas à la règle et mélange un peu tous les genres. Au niveau du scénario, Shark Zone se situe entre Les Dents de la Mer et Shark Attack 3. Mais clairement, Shark Zone a plus à voir avec le dernier film cité qu'avec celui de Steven Spielberg.

shark z

Aucune surprise au niveau du script. Des requins préhistoriques ont la dalle et s'en prennent aux nageurs d'une petite plage californienne.
Jim part alors à la chasse mais la tâche ne sera pas si aisée. Premièrement, quand il était plus jeune, Jim a vu son père se faire dévorer par un grand requin blanc sous ses yeux. Ensuite, des trafiquants peu scrupuleux viennent faire appel à ses services pour retrouver des bijoux précieux au fond de l'océan.

Les criminels ont kidnappé son fils. Jim doit alors explorer les fonds marins infestés de requins. Vous l'avez donc compris: le scénario part un peu dans tous les sens. Ensuite, les attaques des squales ne sont pas du tout crédibles.
La faute revient à une réalisation approximative et maladroite. Certes, les requins apparaissent souvent... très souvent...
Et ce, pour notre plus grand bonheur !

Shark-Zone---affiche-2

Malheureusement, Shark Zone mélange images réelles et séquences virtuelles avec des requins. Le résultat est franchement médiocre et risible.
A cela, rajoutez des acteurs unanimement mauvais, Dean Cochran en tête. Sans compter des dialogues à se pisser dessus:
La femme de Jim: - Que c'est beau l'océan !
Jim: - Oui, mais l'océan n'est rien comparé à ta beauté !

Mais enfin, qui a torché des dialogues pareils ? Bref, un ignoble nanar, curieusement génial à force de verser dans le vulgaire.
Une sorte de remake de Shark Attack 3 en fin de compte.

Note: 0/20 bien sûr !
Note nanardeuse: 17/20


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Olivier Walmacq 11545 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines