Un temps creux creux au boulot eh ouï cela arrive! quelques vers écrits , quelques poèmes collés sur les murs de nos couloirs. Un homme, PASCAL MARI, il me tend un tout petit livre de poésie "la fin d'une histoire", pour moi ce fut " le début d'une histoire". Entre deux appels téléphoniques je lis, je m'abreuve de ces mots écrits par PAUL MARI, ancien maire de COARAZE, mais avant tout, écrivain, poète, prix "Villon" et d'autres...Un immense honneur me fur donné par Pascal. De suite je pris ma plume et traça quelques lettres pour Paul.Un jour puis deux puis plus...mon attente devenait impatience...Pascal, malgré la douleur de la perte récente de sa maman, eut le temps de donner mon cadeau à son père fin 2012.Juste une centaine de poèmes...je mis en ligne sur mon site : les manuscrits d'aurore, le poème "Sur mes cahiers de textes" de Paul. Le soir même je lui écrivit " les couleurs de feu". "Pascal, un petit écrit pour Paul, ton père" lui dis-je en traversant le couloir. "pose sur mon bureau" me répondit-il indifférent. Les responsables virent mal le fait que je rentrai dans le bureau du PDG. Rapidement, tel un éclair je déposais le livre de Paul dans lequel j'avais inséré mes mots. Un jour, puis, deux puis d'autres...A la croisé d'un café Pascal me lance : " Ah au fait Paul voudrait te voir pour je ne sais trop quoi, une anthologie...Ah les poètes tous des pouettes pouettes...je peux lui n ton numéro?","Bien sur". Vers 18h30 le même jour, mon portable sonne...c'est Paul, c'est Paul." pouvons nous nous rencontrer", "Oui, oui demain si vous le voulez", "Ok". Et me voilà partie le lendemain via Nice. Petit souci je connais pas Nice, mais pas du tout, peu importe Paul m'avait dit qu'il m'indiquera. Alors Confiance. "Prends à droite à gauche tout droit. Tu voies au bout avenue Médecin", "oui j'y suis", "Roule, roule tout droit, tu voies la mer au bout". Combien de mètre j'ai fait? je ne sais pas pas mais tout devient Blanc, une camionnette blanche en face de moi, une de chaque côté, et me voilà embarqué dedans et devant tout le monde. J'étais au beau milieu de la ligne des tramways..."Paul, t'inquiètes pas j'arrive un peu en retard, mais j'arrive, la police a immobilisé ma voiture!". Mes amis de Grasse arrivent pour l'enlever. Moi je reste, je veux aller à la rencontre de Paul.Nous discutâmes. Paul m'invita au restaurant chinois juste à côté de chez lui. Moi, je suis en réalité, la tête pleine de cette mauvaise aventure sur le tram. Paul en est sincèrement désolé d mal m'avoir indiquer le chemin. Chez lui, il tend quelques poèmes que dis-je de nombreux , me fait lire la lettre d'accord de la ville de Nice.Pour lui tout est clair. Pour moi, pas tout à fait quand même car à l'heure où je vous écris, je n'ai toujours pas réalisé... Scribe...moi Scribe...de cette grande Anthologie...les courriers des pays étrangers arrivent dans ma boîte mail! et demain...!