Mon adieu à Etta James

La première fois que j’ai entendu la voix de la grande Etta James, c’était très certainement dans un film romantique américain…

Elle avait cette faculté de donner tout de suite de l’émotion, de transmettre de l’amour et de dévoiler la femme sensuelle qui repose en nous.

Lorsque j’écoute « I just want to make love to you », je n’ai qu’une envie, me déshabiller avec assurance et maitrise face à mon fiancé. Lorsque les premières notes de « At last », j’ai envie d’un slow lent les yeux dans les yeux avec lui. Avec « Be Mine », c’est une envie de danser mieux qu’Olivia Newton-John qui m’envahit…

Toutes les chansons d’Etta James me parlent!

Et pas qu’à moi car même le film Cadillac Records a été inspiré par la diva. Et qui de mieux qu’une autre diva telle que Beyoncé pouvait jouer son rôle?! Un film que je vous conseille pour découvrir ou redécouvrir les débuts du « rythm and blues ».

Gloire à la musique noire qui a révolutionné le paysage musical et merci à Johnny Otis (repose en paix) qui a tout misé sur cette voix immuable.

Etta James forever!

At last, my love has come along
My lonely days are over
And life is like a song
Oh, yeah, at last
The skies above are blue
My heart was wrapped up in clovers
The night I looked at you
I found a dream that I could speak to
A dream that I can call my own
I found a thrill to rest my cheek to
A thrill that I have never known
Oh, yeah when you smile, you smile
Oh, and then the spell was cast
And here we are in heaven
For you are mine
At last

Eloïse V.

© Sipa