Il apporte inlassablement de l'eau à son moulin. Avec quatorze romans à son actif, l'écrivain Antonin Malroux n'a de cesse d'écrire. Au moins une à deux pages par jour, avec comme principale muse, la terre de son enfance. C'est effectivement depuis son plus jeune âge que le virus du travail l'a attrapé. « Je dois toute ma sensibilité à cette terre ». Lire la suite...
Émilie Auffret pour le journal « La Montagne » - le 25/04/11