Switched At Birth // Saison 1. Episode 13. Self Portrait With a Bandaged Ear.
Après deux épisodes assez moyens pour le retour de Switched At Birth, voilà que la série nous offre enfin un épisode plus passionnant avec moins d'intrigues ennuyeuses et qui n'avancent pas. En
tout cas, j'étais ravi de quelques scènes bien foutues qui nous offrent de bons sentiments. Car le but de Switched At Birth c'est bien évidemment de nous offre un drama avec des moments
sympathiques entre les personnages. On nous laissait dans le noir avec l'épisode précédent : pourquoi Emmett pouvait bien être arrêté ? On le découvre très rapidement dans ce nouvel épisode. En
effet, il a été arrêté pour dégradation de bien public. Ce qui est bien avec la série c'est qu'elle n'a pas oublié les intrigues des dix premiers épisodes (et elle fait tout dans cet épisode pour
nous le rappeler). On se souvent du dessin de Bay sur le mur par exemple. Cela va amener de bons moments avec Emmett et Bay. Pour de belles retrouvailles à la fin de l'épisode (bon, ok, j'ai
aussi découvert que l'on faisait des vidéo-projecteur qui fonctionnent sans être branché… c'est le futur non ? Et-on dans l'autre univers de Fringe peut-être ?).
Mis à part ça, les petites scènes entre Bay et Emmett ne manquaient pas d'enfin faire évoluer leur relation et de les rapprocher un peu plus. Ce n'était donc pas de refus. Pendant ce temps, bien
évidemment, Alejandro tente toujours de développer une relation entre lui et sa vraie fille, Bay. Cela donne des scènes pas vraiment utile mais cela permet à Gilles Marini de revenir. D'une part
pour révélé qu'il est parti parce que Daphne était devenue sourde, pour nous chanter une chanson bien débile (et française) sur les Cro-cro-crodiles… (vous comprendrez si vous avez vu l'épisode)
et pour danser la rumba avec Regina et surtout rentabiliser les cours de danse que Gillou a suivi pendant des années. Non mais oh ! En tout cas, le rapprochement entre Alejandro et Regina peut
avoir du bon car d'une part cette dernière ne sera plus vieille femme mais aussi parce qu'il fallait un intérêt amoureux et que tous ceux qu'on a pu lui collé étaient mauvais comme des cochons.
Quant à Daphne elle veut en savoir un peu plus sur son "père" Alejandro. Même si c'était assez peu utile, il y avait quand même la révélation au bout.
Note : 6.5/10. En bref, des bons personnages pour de bonnes interactions. Une bonne histoire et quelques couacs légers et n'empêchant pas de prendre un malin plaisir à suivre les nouvelles aventures de nos "switched at birth".