Bonjour à celles et ceux qui seront chez Spice & Wine ce soir
Bon rétablissement à Kamel
Bonjour aux zotres
Voici une brève revue des livres que j'apporterai au DLE de ce soir.
En rédigeant ce mail, je me suis aperçue qu'il y avait une majoirité de livres que j'avais abandonnés (4/7 parfois très rapidement) et que je n'avais aimé aucun des 7 ! Mais comme je dis souvent, les goûts des zun(e)s sont les dégouts des zotres et inversement toutes lectures égales par ailleurs !
Si j'ai lu la trilogie des fourmis il y a longtemps et avec quelques années d'intervalle entre chaque tome, je n'ai pas rédigé de critique sur le sujet. Dans le cas contraire, elle aurait été dythirambique pour le 1er volet, excellente pour le 2e (mon préféré je pense) et consternée pour le 3e. La révolution des fourmis n'est pas du tout à la hauteur des deux tomes précédents et Bernard Werber est nettement moins inspiré pour conclure son épopée fourmistique que pour les deux épisodes précédents. Mais bon, ça se lit vite...
La porte des enfers
Laurent Gaudé
Ma critique est ici
Ce livre avait été choisi par Liliba dans le cadre du Prix Qd9. Je n'ai pas accroché contrairement aux deux autres romans de cet auteur que j'ai lus ensuite (La mort du roi Tsongor et Cris pour lesquels j'ai aussi rédigé des critiques.
Le guide du voyageur galactique
Douglas Adams
Livre culte pour beaucoup, objet d'incrédulité et de désolation pour moi. Je dois admettre une fois pour toutes que je suis totalement réfractaire à l'humour absurde (l'adaptation ciné est également une catastrophe).
J'ai abandonné très rapidement.
Georges Picard
L'humoriste
Même souci qu'avec le Adams : la forme d'humour développé dans ces courts portraits (2 à 3 pages de gros caractères) n'est absolument pas ma tasse de thé aussi ai-je abandonné au bout d'une vingtaine de pages (comme pour le Guide de Mongolie ou Le Pingouin par exemple, sensés être cultes eux aussi).
La contrevie
Philip Roth
De cet auteur j'ai lu le pire et le meilleur et ses romans m'ont fait passé par divers sentiments de l'enthousiasme admiratif (La tache) en passant par le rejet (le Sein) ou l'indifférence (celui-ci). Le style très narcisso-juif-newyorkais passe souvent très bien dans les films de Woody Allen mais il m'a endormie dans ce roman que j'ai abandonné après m'être accrochée (trop) longtemps !
Pas de critique en ligne mais celle de Professeur de désir est ici L'épopée du buveur d'eau
John Irving
J'avais déjà lu pas mal d'Irving et je les avais tous aimés (voir liste et avis dans ma critique ici) mais je n'ai absolument pas compris où l'auteur voulait en vernir avec celui-ci que j'ai aussi lâché au bout de 50 pages. Pour certain(e)s c'est pourtant un des meilleurs Irving. Eh bien je ne partage pas du tout ce point de vue... à vous de vous faire le vôtre.
Iceberg Ltd
Serge Brussolo
Ma critique mitigée est ici
Les plus
L'univers de l'auteur
L'ambiance de la première moitié du roman
Les moins
Le n'importe quoi de la 2e moitié du roman