La faute aux énergies renouvelables, au nucléaire … et aux tempêtes ?
Parmi les raisons évoquées pour justifier une telle envolée du prix de l’électricité on trouve :
Le doublement de la contribution au service public de l’électricité (CSPE), acquittée par l’ensemble des consommateurs, qui permet de financer le développement des énergies renouvelables.
Une hausse annuelle de 2% du prix du nucléaire, égale à l’inflation, qui inclut les 10 à 15 milliards d’euros de travaux exigés sur les centrales par l’Autorité de sûreté nucléaire pour tenir compte de la catastrophe de Fukushima.
Une augmentation de 4% par an (inflation comprise) du tarif d’utilisation des réseaux publics d’électricité, gérés par ERDF, pour faire face à de lourds investissements d’entretien et de modernisation du réseau.
Ça pourrait être pire !?
« Si la France fermait des centrales nucléaires pour les remplacer par de nouveaux moyens thermiques ou renouvelables, la hausse pourrait être encore plus forte », estiment Les Echos … Infos ou intox ? Il est pour le moment encore difficile de tirer des conclusion pour une politique énergétique française non encore identifiée.
2012 sera donc sans nul doutes une année tourner vers les problématique énergétique ! Elle a d’ailleurs été déclaré année internationale de l’énergie durable pour tous par les Nations Unies.
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