Le Pen : le prix du gloubi-boulga économico-démagogique !

Publié le 18 janvier 2012 par Ps76

Ci-dessous en vidéo, une grande leçon de démonstration économique “bidon” de la part de la candidate Le Pen. Anne-Sophie Lapix (Canal +) ne s’était sûrement pas imaginée un jour en mentor anti-Lepen mais la force des choses l’a spontanément amenée à ne pas capituler en route.

La journaliste relève un petit chiffre et tout le Le Penisme économique s’effondre. Pugnacité et professionnalisme font le reste pour connaître les fondements d’une proposition anodine au départ mais dont l’explication laisse la candidate Le Pen ridicule, laminée et tellement brouillonne … qu’on a peine à croire qu’elle pourrait diriger un jour quoi que ce soit …

L’incompétence fait froid dans le dos au regard des chiffres électoraux que lui accorderaient celles et ceux qui auraient à souffrir fortement de cette politique basée sur du vent, quelques billevesées et beaucoup de mensonges. C’est surtout cette surenchère permanente dans la démagogie, ridicule et inutile qui semble démasquée, tout simplement. Le problème, avec ce genre de faux visionnaires, c’est que les vessies remplacent souvent les lanternes et qu’ils sont dotés d’une audace qui ferait passer leurs idées bancales et dangereuses pour des innovations surprenantes …

Pire, la mode du “suivisme” frappe aussi les rangs d’une droite dite ”républicaine“ où, même en responsabilité, certain(e)s empruntent de plus en plus souvent les mêmes voies improbables, aussi grossières car faites de déclarations édifiantes et de fausses-vraies solutions inventées pour aimanter des voix.

Le Pen influençait les cerveaux qu’on disait “lepénisés”. Sa fille fait malheureusement école. Une école des cancres mise en avant par la soif sondagière, le goût du sensationnel et l’appétit microcosmien des petites phrases et des petits slogans qui rythment l’arnaque politique au quotidien. Au final, des déceptions, des votes refuges et sous influence, une issue à gauche qui parfois manque de voix …

En avril 2012, ne nous laissons pas “anesthésier”, votons pour un changement de cap ! Votons dès le 22 avril pour François Hollande.