PLAN DU SITE
Abonnez-vous à nos flux RSS ou atom!
Recherche d'évènements à venir (indiquez un mot significatif)
Profitant de l’occasion de la mémoire de l’assassinat de son père, le jeune Moustafa Geha diplômé en sciences politiques et propriétaire d’une maison d’édition et d’un centre d’études politiques et stratégiques, a pris la résolution de sortir de l’ombre pour dénoncer à travers le système judiciaire ceux qui ont été derrière la mort de l’homme qui l’a emmené à l’école pour la dernière fois il y a vingt ans.
Ceux qui l’ont tué étaient bêtes. Ils ont pu annihiler le corps mais pas la pensée, a dit le jeune Moustafa.
Durant l’entretien, Moustafa était calme mais ferme. Dans ses yeux il y avait certainement une rancune qui planait sur des faits cachés depuis janvier 1992. C’est un nom et une cause. Il n’y aura pas de retour ou de négociation.
Moustafa Geha, le penseur shiite libanais, était contre la limitation du shiisme au Hezbollah et contre le régime syrien et ses alliés, dans le temps, au pays du Cèdre. Il a voulu promouvoir un Liban dans lequel les citoyens sont des Libanais et non pas des musulmans et des chrétiens. La plupart de ses livres ont été bannis et confisqués par les services de sécurité parce qu’ils critiquaient le fondamentalisme religieux – des versets sataniques pour ceux qui voulaient garder toute vérité dans le noir.
Et en réponse à la question de l’existence de menaces et de la possibilité d’une répétition de l’acte mortel, le jeune Moustafa a été clair et décisif: Ils n’arriveront jamais à se débarrasser de l’esprit de Moustafa Geha…
Quand Moustafa Geha, l’auteur de livres comme “Khomeiny a tué Zarathoustra” et “Le sort de l...
(232.67 Ko)
Un an après la fuite de l'ancien président Zine el Abidine Ben Ali, les autorités ont pris quelque...
(420.13 Ko)