Pour bien commencer l'année, voici un roman que j'ai lu il y a un moment dans le cadre du Goncourt des Lycéens. Vous en avez sans doute déjà entendu parler.
Résumé de l'éditeur :
"Je voulais dire à mon grand-père que je l'aimais, mais je n'y suis pas parvenu. J'ai si souvent été en retard sur les mots que j'aurais voulu dire. Je ne pourrai jamais faire marche arrière vers cette tendresse. Sauf peut-être avec l'écrit, maintenant. Je peux le lui dire, là."
David Foenkinos nous offre ici une méditation sensible sur la vieillesse et les maisons de retraite, la difficulté de comprendre ses parents, l'amour conjugal, le désir de créer et la beauté du hasard, au fil d'une histoire simple racontée avec délicatesse, humour, et un art maîtrisé des formules singulières ou poétiques.
Mon bavardage en 5 mots !
- Style : j'ai de nouveau apprécié la manière dont David Foenkinos manie les mots. Il y a toujours beaucoup de poésie dans son écriture0
- Humour : C'est avec beaucoup d'ironie, de recul que l'auteur parvient à nous parler et nous faire rire autour d'un sujet pourtant délicat, parfois même plombant, celui de la Vieillesse.
- Sincérité. David Foenkinos se livre dans ce roman. Il nous confie quelques petites parts de lui, de son passé même si, lorsqu'on discute avec lui, il insiste bien sur le fait qu'il s'agit d'un livre de fiction.
- Souvenirs : David Foenkinos alterne récit et souvenirs de personnages ou personnalités (ex. Un souvenir de Claude Lelouch)
- Transfert : Les Souvenirs ne nous laisse pas indifférent. A plusieurs reprises dans ce roman, je me suis identifiée au narrateur. J'ai beaucoup pensé à mes grands parents en lisant. De nombreux souvenirs ont refait surface. J'ai la chance de les avoir encore autour de moi, j'ai envie de partager encore plein de choses avec eux !
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble