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Les couleurs d'une semaine qui vient de s'écouler....

Publié le 16 janvier 2012 par Marigotine

 

     Orange mais pas Free

<b></div>Triste anniversaire</b>. Ces militants de «Témoins contre la torture», vêtus de combinaisons orange et la tête couverte d’un sac noir, demandent la fermeture de la prison de Guantanamo et dénoncent «la détention illimitée sans jugement». Il y a dix ans jour pour jour, après les attentats du 11 septembre 2001, George W. Bush, président des États-Unis, ordonnait l’ouverture de cette prison hors normes pour les «combattants ennemis» capturés dans le cadre de la «guerre contre le terrorisme». Aujourd’hui, 171 hommes y sont toujours incarcérés, malgré les promesses du président américain Barack Obama de la fermer. Triste anniversaire. Ces militants de «Témoins contre la torture», vêtus de combinaisons orange et la tête couverte d’un sac noir, demandent la fermeture de la prison de Guantanamo et dénoncent «la détention illimitée sans jugement». Il y a dix ans jour pour jour, après les attentats du 11 septembre 2001, George W. Bush, président des États-Unis, ordonnait l’ouverture de cette prison hors normes pour les «combattants ennemis» capturés dans le cadre de la «guerre contre le terrorisme». Aujourd’hui, 171 hommes y sont toujours incarcérés, malgré les promesses du président américain Barack Obama de la fermer. " title="Les couleurs d'une semaine qui vient de s'écouler...." />Triste anniversaire. Ces militants de «Témoins contre la torture», vêtus de combinaisons orange et la tête couverte d’un sac noir, demandent la fermeture de la prison de Guantanamo et dénoncent «la détention illimitée sans jugement». Il y a dix ans jour pour jour, après les attentats du 11 septembre 2001, George W. Bush, président des États-Unis, ordonnait l’ouverture de cette prison hors normes pour les «combattants ennemis» capturés dans le cadre de la «guerre contre le terrorisme». Aujourd’hui, 171 hommes y sont toujours incarcérés, malgré les promesses du président américain Barack Obama de la fermer. " border="0" />

Ces militants de «Témoins contre la torture», vêtus de combinaisons orange et la tête couverte d’un sac noir, demandent la fermeture de la prison de Guantanamo et dénoncent «la détention illimitée sans jugement». Il y a dix ans jour pour jour, après les attentats du 11 septembre 2001, George W. Bush, président des États-Unis, ordonnait l’ouverture de cette prison hors normes pour les «combattants ennemis» capturés dans le cadre de la «guerre contre le terrorisme». Aujourd’hui, 171 hommes y sont toujours incarcérés, malgré les promesses du président américain Barack Obama de la fermer. (Larry Downing/REUTERS)

                      Jaune compétition

<b></div>En course</b>. De bon matin, les sensations saisissent au fil des jours les pilotes avec encore plus d’intensité. Mercredi, avec un point de vue spectaculaire, mêlant sable et vagues, les experts les plus à l’aise ont littéralement surfé sur les dunes. Alors, au volant de sa Mini, c’est l’Espagnol Nani Roma qui a remporté, la 10ème étape du Dakar 2012, devant une autre Mini, celle du leader Stéphane Peterhansel et le Toyota du Sud-Africain Ginel De Villiers. Le pilote Français conserve la tête du classement général provisoire avec 19 minutes d’avance sur son équipier Espagnol.En course. De bon matin, les sensations saisissent au fil des jours les pilotes avec encore plus d’intensité. Mercredi, avec un point de vue spectaculaire, mêlant sable et vagues, les experts les plus à l’aise ont littéralement surfé sur les dunes. Alors, au volant de sa Mini, c’est l’Espagnol Nani Roma qui a remporté, la 10ème étape du Dakar 2012, devant une autre Mini, celle du leader Stéphane Peterhansel et le Toyota du Sud-Africain Ginel De Villiers. Le pilote Français conserve la tête du classement général provisoire avec 19 minutes d’avance sur son équipier Espagnol." title="Les couleurs d'une semaine qui vient de s'écouler...." />En course. De bon matin, les sensations saisissent au fil des jours les pilotes avec encore plus d’intensité. Mercredi, avec un point de vue spectaculaire, mêlant sable et vagues, les experts les plus à l’aise ont littéralement surfé sur les dunes. Alors, au volant de sa Mini, c’est l’Espagnol Nani Roma qui a remporté, la 10ème étape du Dakar 2012, devant une autre Mini, celle du leader Stéphane Peterhansel et le Toyota du Sud-Africain Ginel De Villiers. Le pilote Français conserve la tête du classement général provisoire avec 19 minutes d’avance sur son équipier Espagnol." border="0" />   De bon matin, les sensations saisissent au fil des jours les pilotes avec encore plus d’intensité. Mercredi, avec un point de vue spectaculaire, mêlant sable et vagues, les experts les plus à l’aise ont littéralement surfé sur les dunes. Alors, au volant de sa Mini, c’est l’Espagnol Nani Roma qui a remporté, la 10ème étape du Dakar 2012, devant une autre Mini, celle du leader Stéphane Peterhansel et le Toyota du Sud-Africain Ginel De Villiers. Le pilote Français conserve la tête du classement général provisoire avec 19 minutes d’avance sur son équipier Espagnol. (REUTERS)

                                             Bleu glacier

<b></div>Galerie des glaces</b>. Celle-ci a été creusée par les eaux d’écoulement du plus grand glacier d’Islande et d’Europe, Le Vatnajökull, qui s’étend sur plus de 8000 kilomètres carrés dans le sud-est de l’île. Mais il est beaucoup plus dangereux de s’y aventurer que sur les parquets cirés de Versailles et il est fortement déconseillé de le faire au printemps, lorsque ses parois fondent et menacent à tout instant de s’effondrer. Le photographe amateur islandais qui a pris ce cliché avait donc prudemment planifié son expédition en décembre. Mais sans être à l’abri pour autant d’une inondation brutale, déclenchée par l’un des sept volcans– dont deux terriblement actifs – qui bouillonnent dans les entrailles de ce gigantesque glacier. Galerie des glaces. Celle-ci a été creusée par les eaux d’écoulement du plus grand glacier d’Islande et d’Europe, Le Vatnajökull, qui s’étend sur plus de 8000 kilomètres carrés dans le sud-est de l’île. Mais il est beaucoup plus dangereux de s’y aventurer que sur les parquets cirés de Versailles et il est fortement déconseillé de le faire au printemps, lorsque ses parois fondent et menacent à tout instant de s’effondrer. Le photographe amateur islandais qui a pris ce cliché avait donc prudemment planifié son expédition en décembre. Mais sans être à l’abri pour autant d’une inondation brutale, déclenchée par l’un des sept volcans– dont deux terriblement actifs – qui bouillonnent dans les entrailles de ce gigantesque glacier. " title="Les couleurs d'une semaine qui vient de s'écouler...." />Galerie des glaces. Celle-ci a été creusée par les eaux d’écoulement du plus grand glacier d’Islande et d’Europe, Le Vatnajökull, qui s’étend sur plus de 8000 kilomètres carrés dans le sud-est de l’île. Mais il est beaucoup plus dangereux de s’y aventurer que sur les parquets cirés de Versailles et il est fortement déconseillé de le faire au printemps, lorsque ses parois fondent et menacent à tout instant de s’effondrer. Le photographe amateur islandais qui a pris ce cliché avait donc prudemment planifié son expédition en décembre. Mais sans être à l’abri pour autant d’une inondation brutale, déclenchée par l’un des sept volcans– dont deux terriblement actifs – qui bouillonnent dans les entrailles de ce gigantesque glacier. " border="0" />  Celle-ci a été creusée par les eaux d’écoulement du plus grand glacier d’Islande et d’Europe, Le Vatnajökull, qui s’étend sur plus de 8000 kilomètres carrés dans le sud-est de l’île. Mais il est beaucoup plus dangereux de s’y aventurer que sur les parquets cirés de Versailles et il est fortement déconseillé de le faire au printemps, lorsque ses parois fondent et menacent à tout instant de s’effondrer. Le photographe amateur islandais qui a pris ce cliché avait donc prudemment planifié son expédition en décembre. Mais sans être à l’abri pour autant d’une inondation brutale, déclenchée par l’un des sept volcans– dont deux terriblement actifs – qui bouillonnent dans les entrailles de ce gigantesque glacier. (THRAINSSON/CATERS NEWS/SIPA)    Les teintes chaudes
<b></div>Feux sacrés</b>. Ces paysannes népalaises, rassemblées autour de braseros carrés, composent à leur insu une superbe mosaïque de rires et de ferveur. Elles se réchauffent en attendant l’aube du 9 janvier, premier jour du mois sacré de Magh, où les hindouistes népalais (87%de la population) célèbrent aussi la fin du mois de Poush, celui des mauvais présages. Dans quelques heures, ces adoratrices de Vishnou s’immergeront dans la rivière Saali, avant d’entamer tout un mois de réjouissances religieuses. Un bain moins frigorifiant qu’on pourrait le croire ; car le 9 janvier a beau être considéré au Népal comme «le jour le plus froid de l’année», sa température dans la vallée de Katmandou descend rarement en dessous de 15 °C. Feux sacrés. Ces paysannes népalaises, rassemblées autour de braseros carrés, composent à leur insu une superbe mosaïque de rires et de ferveur. Elles se réchauffent en attendant l’aube du 9 janvier, premier jour du mois sacré de Magh, où les hindouistes népalais (87%de la population) célèbrent aussi la fin du mois de Poush, celui des mauvais présages. Dans quelques heures, ces adoratrices de Vishnou s’immergeront dans la rivière Saali, avant d’entamer tout un mois de réjouissances religieuses. Un bain moins frigorifiant qu’on pourrait le croire ; car le 9 janvier a beau être considéré au Népal comme «le jour le plus froid de l’année», sa température dans la vallée de Katmandou descend rarement en dessous de 15 °C. " title="Les couleurs d'une semaine qui vient de s'écouler...." />Feux sacrés. Ces paysannes népalaises, rassemblées autour de braseros carrés, composent à leur insu une superbe mosaïque de rires et de ferveur. Elles se réchauffent en attendant l’aube du 9 janvier, premier jour du mois sacré de Magh, où les hindouistes népalais (87%de la population) célèbrent aussi la fin du mois de Poush, celui des mauvais présages. Dans quelques heures, ces adoratrices de Vishnou s’immergeront dans la rivière Saali, avant d’entamer tout un mois de réjouissances religieuses. Un bain moins frigorifiant qu’on pourrait le croire ; car le 9 janvier a beau être considéré au Népal comme «le jour le plus froid de l’année», sa température dans la vallée de Katmandou descend rarement en dessous de 15 °C. " border="0" />   Ces paysannes népalaises, rassemblées autour de braseros carrés, composent à leur insu une superbe mosaïque de rires et de ferveur. Elles se réchauffent en attendant l’aube du 9 janvier, premier jour du mois sacré de Magh, où les hindouistes népalais (87%de la population) célèbrent aussi la fin du mois de Poush, celui des mauvais présages. Dans quelques heures, ces adoratrices de Vishnou s’immergeront dans la rivière Saali, avant d’entamer tout un mois de réjouissances religieuses. Un bain moins frigorifiant qu’on pourrait le croire ; car le 9 janvier a beau être considéré au Népal comme «le jour le plus froid de l’année», sa température dans la vallée de Katmandou descend rarement en dessous de 15 °C. (NAVESH CHITRAKAR/REUTERS)      La couleur de l'endurance
<b></div>À rude épreuve</b>. C’est un entrainement intensif. Comme chaque année, les soldats d'élite de l'armée sud-coréenne participent à un stage hivernal d'entraînement à la survie, à Pyeongchang, situé à 180 km de Séoul. Ces membres des forces spéciales n’ont qu’un objectif : tenir le coup. Alors ils serrent les dents et s’accrochent. Après des épreuves d’endurance en altitude et des heures de marche dans la neige avec leur paquetage sur le dos et armes à la main, certains sont au bord de l’abandon. Mais aucun ne lâchera. À rude épreuve. C’est un entrainement intensif. Comme chaque année, les soldats d'élite de l'armée sud-coréenne participent à un stage hivernal d'entraînement à la survie, à Pyeongchang, situé à 180 km de Séoul. Ces membres des forces spéciales n’ont qu’un objectif : tenir le coup. Alors ils serrent les dents et s’accrochent. Après des épreuves d’endurance en altitude et des heures de marche dans la neige avec leur paquetage sur le dos et armes à la main, certains sont au bord de l’abandon. Mais aucun ne lâchera. " title="Les couleurs d'une semaine qui vient de s'écouler...." />À rude épreuve. C’est un entrainement intensif. Comme chaque année, les soldats d'élite de l'armée sud-coréenne participent à un stage hivernal d'entraînement à la survie, à Pyeongchang, situé à 180 km de Séoul. Ces membres des forces spéciales n’ont qu’un objectif : tenir le coup. Alors ils serrent les dents et s’accrochent. Après des épreuves d’endurance en altitude et des heures de marche dans la neige avec leur paquetage sur le dos et armes à la main, certains sont au bord de l’abandon. Mais aucun ne lâchera. " border="0" /> . C’est un entrainement intensif. Comme chaque année, les soldats d'élite de l'armée sud-coréenne participent à un stage hivernal d'entraînement à la survie, à Pyeongchang, situé à 180 km de Séoul. Ces membres des forces spéciales n’ont qu’un objectif : tenir le coup. Alors ils serrent les dents et s’accrochent. Après des épreuves d’endurance en altitude et des heures de marche dans la neige avec leur paquetage sur le dos et armes à la main, certains sont au bord de l’abandon. Mais aucun ne lâchera. (Kim Hong-Ji/REUTERS)     

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