fureurs de toutes sortes

Par Irislisson

Bientôt le printemps!? La prudence m'amenait à mettre un point d'interrogation derrière l'exclamatoire l'autre jour. Et j'ai bien fait, parce que depuis deux jours, un vent glacial du Nord avec des rafales à faire tomber les tuiles des toits nous balaye et a fait chuter les températures proches de zéro... Rien d'exceptionnel, me dites vous, c'est vrai, l' , je vous avais même parlé de la neige à l'heure de l'été. Donc trêve de dans la vigne, le en main pour finir la . Mettons encore une buche de chêne dans le poêle et restons bien au chaud, à surfer bien à l'abri sur les vagues plus calmes de l'internet. Temps de repasser sur le site d', qui m' depuis le début de l'année., parce que le La fureur du vent risquait de m'emporter du haut de la colline... une autre fureur, dont j'ai vous ai déjà entretenu, celle
Et je ne peux pas m'empêcher d'en rajouter à leur furieuse numéro deux, qui fêtait potages, soupes et veloutés



"Nul besoin de passer le langage spécialisé au carbone 14, il a l'âge de ses artères. Car depuis toujours (et avant aussi), chaque corps de métier a son lexique, ses tics, son argot. C'est même à ça qu'ils se reconnaissent entre eux, les spécialistes. Ce verbiage professionnel n'effraie personne. C'est du jargon. Soit. Péquin et quidam nagent dans le potage, c'est un fait, mais n'en meurent pour autant pas puisque ces termes techniques sont ordinairement réservés à des bouches et des oreilles autorisées."

commence la première partie sur le langage du vin, qui ouvre la cage aux ", cher à , qui nous apprendra vins-mots" et culmine dans un Rémy Loisel.
tout sur le pain
Dépêchez-vous de vider votre assiette, le numéro 3 viens d jeux oulipien digne du



et je fais confiance aux éditeurs, qu'avant la fin du mois, le verre de la photo en tête va se teinter d'une goutte de rouge!