Enfin ! La vérité sur la mort de Vincent van Gogh
Par Laurent Bihl
Excuse-moi Bernard, mais ta version ne vaut pas mieux que les autres. Moi seul suis, pour l'heure, en mesure de révéler l'authentique fin de Van Gogh.
En fait, notre peintre était bien plus engagé qu'on ne l'a dit dans les milieux Socialistes-Révolutionnaires. En mai 1890, Van Gogh abrite à Arles un nihiliste nommé Padlewski, lequel vient d'assassiner le général russe Seliverstoff. Alors qu'on croit l'activiste passé clandestinement dans le Tessin avec Georges de Labruyère, amant de Séverine, Padlewski est en fait amené chez Van Gogh à Arles par Amilcar Cipriani, l'ancien compagnon de Garibaldi. Après une cuite mémorable, les 3 hommes s'embarquent pour les USA en avion, précisément dans l'Etat de New York, afin d'aller manifester contre la première utilisation de la chaise électrique, sur William Kemmler. C'est LA, LA ET NULLE PART AILLEURS, que Van Gogh est blessé à l'oreille par une charge policière particulièrement virulente. Il prend dès lors le premier train et revient expirer à Arles des suites des brutalités policières américaines, non sans avoir laissé de nombreuses toiles dans certains musées de la cote Est en dépôt, ce qui explique leur présence outre atlantique aujourd'hui.
OR, CES TOILES, PRETES, N'ONT JAMAIS ETE RESTITUEES par les USA!
C'est donc la raison pour laquelle les biographes yankees tentent de déguiser grossièrement la mort de Van Gogh en un duel imaginaire.
Je sais que cela va choquer, mais il fallait tout de même que la vérité soit dite.
Sur ce, je te souhaite une bonne année.
Laurent
Laurent Bihl est l’auteur d’un ouvrage récent consacré à Michel Zévaco :
De cape noire en épée rouge
Editions Ressouvenances
ISBN2 84505 110 2