Le “Club des Entreprises Low Cost” le répète sans cesse : quand un vrai low cost arrive sur un marché, il fait baisser les prix de tous les acteurs traditionnels. La preuve éclatante avec le cas FREE Mobile face à Orange, Bouygues et SFR. En moins d’une semaine tout le marché a baissé les prix de façon spectaculaire… Ce qui n’avait pas été possible pendant des années a pris 3 jours !
Quelle belle démonstration de ce que nous disons au CLUB DES ENTREPRISES LOW COST : l’irruption d’un low costeur sur un marché est toujours une formidable nouvelle pour les consommateurs. Les prix baissent aussitôt chez tous les acteurs high cost traditionnels affolés à l’idée de perdre des clients et d’endommager leur image durablement.
Conclusion ? Le low cost restitue bien du pouvoir d’achat aux clients sur tous les segments de marché qu’ils soient B to B ou B to C. L’effet déflationniste des low costeurs n’est plus discutable, leur contribution à la préservation du pouvoir d’achat est claire et nette.
Alors, les esprits grincheux peuvent toujours essayer de faire courir des doutes sur la qualité des services et produits low cost, les consommateurs, eux, ont parfaitement compris que la contribution des low costeurs est essentielle. En outre, la soi-disant “qualité supérieure” que l’on paie une fortune chez un acteur high cost n’est parfois pas très différente de ce que l’on peut payer 3, 4, 5 fois moins cher chez un low cost.
Prenons l’exemple dans le business to business de TVLOWCOST, dont les campagnes tout compris en TV nationales coûtent 500 000 euros pour le “PACK TV 3 VAGUES TOUT COMPRIS” et permettent à une marque de faire trois vagues puissantes sur TF1, F2, F3, F5, Canal, TNT, création comprise, réalisation d’une saga de films de qualité comprise, prétest compris, Ipsos compris. Chez n’importe quelle agence de pub classique high cost ceci couterait au bas mot le double, et plus probablement le triple. Pourtant la qualité des spots est identique, les chaînes utilisées les plus puissantes, la rigueur et l’exigence sont maximales, alors pourquoi faudrait-t-il que les marques paient plus ? Les clients comprennent chaque jour un peu plus que “low cost n’égale pas low quality”… et se détournent des soi-disant “offres premium” proposés par les acteurs traditionnels.
Pire, ils se défient de plus en plus d’eux, en se demandant pourquoi ils ont attendu si longtemps pour baisser leurs tarifs. Bonne question !