Flics vaudois: seulement un tiers des cas?

Publié le 14 janvier 2012 par Kalvin Whiteoak

Pas très étonnant qu’avec le flair détonant et surtout l’application plutôt fonctionnarisée avec laquelle nos pandores travaillent ils ne résolvent qu’un tiers des affaires environ.

Si on ajoute en plus que leur QI standard dépasse à peine celui de la moule marinière intelligente, que leur formation est misérable et que leur culture est totalement absente des registres, on ne s’étonne plus de rien.

Au fond, on devrait donc en licencier les deux tiers, ça ferait des économies sans aucune incidence sur le taux d’élucidation.