Olivier Pantaloni (entraîneur d’Ajaccio)
Il faut éviter de se remettre une pression comme on a pu l’avoir en début de saison. On s’est prouvé qu’on avait des qualités, mais elles ne peuvent s’exprimer que lorsqu’on est à notre meilleur niveau. Et pour ça, il faut qu’on joue libéré, sans crispation, explique-t-il. On n’a rien à perdre aujourd’hui, mais tout à gagner.
Johann Cavalli (milieu de terrain d’Ajaccio)
On ne doit pas se louper. Mais ce sont souvent ces matches-là, quand on est dos au mur, qu’on arrive bien à négocier.
Laurent Fournier (Entraîneur AJA)
Cette équipe marche très fort en ce moment mais on y va pour prendre des points. Depuis le début de la saison, mon équipe est trop souvent dans la réaction et pas dans l’action. La dernière fois, c’était contre Dijon (2-2, le 21 décembre). Quand elle est piquée, qu’elle est animée par un sentiment de révolte, l’AJA est capable de très bonnes choses. Mais moi, j’aimerais qu’elle n’attende pas d’être en difficulté pour montrer ce qu’elle sait faire.