En début de semaine, une pollution atmosphérique record a recouvert Pékin. L'ambassade des États-Unis dans la capitale chjnoise, qui calcule de façon indépendante le degré de qualité de l'air, a indiqué que la pollution dépassait lundi matin le niveau «dangereux», qui est le pire niveau de son indice. Le Bureau de l'environnement de Pékin a quant à lui qualifié de «bonne» la qualité de l'air de la capitale et le centre météorologique national a de son côté indiqué que la capitale chinoise était touchée par un «brouillard» réduisant la visibilité à 200 mètres dans certains quartiers.
En plus des nombreuses centrales thermiques à charbon, la pollution à Pékin est alimentée par les industries des réseaux urbains et la circulation automobile. Un total de 240 000 voitures supplémentaires sont arrivées en 2011 dans les rues de la mégalopole, où il en circulait déjà cinq millions.
Source : cyberpresse.ca