Mes lecteurs le savent, Mistral est notre troll sarkozyste de base. Mais grâce à un complot organisé entre un militant LCR et un adepte du rude-boy, nous pouvons vous signaler l'existence d'une réserve planquée de troll néo-cons pur-race pas encore totalement atteints par l'ESB.
Ca se passe chez Lisa, jeune idiote bordelaise de 20 ans.Elle est capable d'écrire des billets avec du contenu comme ça (ici c'est une citation qu'elle a pris d'un autre blog neo-con). On trouve dans cette liste tous les délires libéraux poussés à l'extrême. Elle n'a même pas eu la force intellectuelle de rajouter du contenu. Cette liste d'ineptie pourrait à elle seule me permettre d'écrire un billet par item décrit. Attention soyez prévenus, c'est assez odieux comme construction intellectuelle : il y' a au moins une contre-vérité par ligne.
Le capitalisme est le système économique résultant du respect de la liberté individuelle.
Le capitalisme a apporté le progrès à l'humanité : du médicament pour vous soigner, en passant par le scanner qui permettra de découvrir à temps l'existence d'une tumeur, de l'ordinateur à tous les objets et produits qui vous simplifient la vie courante.
Tous ces produits et technologies, sans exception, sont conçus, élaborés, testés, développés et fabriqués par des entreprises capitalistes, occidentales ou non, honnies par une certaine presse qui se croit bien pensante.
Si nous vivons mieux, c'est au progrès, donc au capitalisme, que nous le devons. Le capitalisme a permis le confort matériel dont nous jouissons.
Le capitalisme a réduit et éliminé les famines qui ravageaient des populations entières : si moins de personnes meurent de faim en Inde, c'est parce que ce pays a renoncé aux fantasmes collectivistes pour s'engager dans la voie de l'économie de marché.
Le capitalisme s'impose à toutes celles et ceux qui veulent le progrès de l'humanité. C'est bien pour ça que je dis et répète que dénoncer le capitalisme, c'est aboutir à court terme à un pays sous-développé.
Le communisme entend se substituer au capitalisme ; or l'expérience communiste s'est achevée dans la désolation et la paupérisation des peuples qui y ont été contraints, avec plus de cent millions de morts.
Aujourd'hui, les contestations sont toujours plus virulentes pour cacher la vérité.
Des pays européens, de sensiblité socialiste, ont des niveaux de fiscalité qui étranglent les entreprises, voire les tuent.
Enlever les bénéfices à une entreprise, c'est lui enlever toute possibilité d'investir et de se développer.
Les systèmes de sécurité sociale, avec leur générosité aveuglément suicidaire, sont extrêmement lourds à financer. Obérant le budget des entreprises et dissuadant de nombreux inactifs de renoncer à leur coûteuse inactivité.
Plutôt que de s'en remettre à la régulation naturelle et efficace du marché, le législateur préfère adapter des mesures artificielles d'accès à la profession, de contrôle des compétences, très rapidement obsolètes et qui sont inefficaces et parfaitement inutiles.
Toutes ces législations ont pour objet la reconnaissance de véritables corporatismes, complices de privilèges et dont les rentes de situation n'incitent pas à l'innovation entreprenariale.
C'est cette bureaucratie et cette technocratie, sous toutes ses formes, qui confisquent les ressources ainsi que le temps des entrepreneurs.
L'inefficacité, les lenteurs et le renoncement de l'Etat dans ses missions régaliennes entravent et affaiblissent l'économie.
La lutte contre les soi-disant monopoles privés ne sont que des fantasmes des étatistes et se font au prix de l'arbitraire le plus complet.
Toutes les contraintes ont pour réalité de divertir inutilement le temps, l'argent, et l'énergie des personnels de l'entreprise et de leur raison d'être : le commerce.
La diffusion massive dans les populations, avec la complicité des médias, des idées gauchistes et antimondialistes, au mieux invérifiées et invérifiables, au pire volontairement fausses, sont les fauteurs de guerre, de famine, de terrorismes de toutes sortes. Tous menacent le capitalisme, qui est pourtant l'instrument du progrès et de la liberté.
L'impôt et la solidarité obligatoire, souvent détournés à d'autres buts, ne sont pas les seules clauses de survie pour les pauvres et les exclus. Cette rengaine socialiste est une pure et simple rhétorique, répétée paresseusement par des gens de mauvaise foi qui ne font pas l'effort d'observer ni la réalité, ni le plus élémentaire bon sens.
Dans le type de société socialiste, qui se dit soucieux de la justice sociale, qui applique la logique de la redistribution, où la pauvreté est en croissance constante, où la solidarité obligatoire l'est aussi puisqu'il n'y a que des pauvres, la seule politique sera donc une taxation intégrale générale et une redistribution universelle.
C'est le capitalisme qui a permis aux pauvres d'autrefois de vivre en travaillant plutôt que de mourir de faim et de froid.
La vérité est que le capitalisme créé de la richesse alors que le socialisme est le plus sûr moyen de la détruire. La redistribution socialiste diminue nécessairement la richesse globale puisqu'elle est consommatrice de richesses.
A redistribuer, il ne reste donc rien du tout, prétendre que le capitalisme est la source de la pauvreté dépasse les bornes admissibles de l'hypocrisie et de l'aveuglement.
L'anticapitalisme a réussi a faire fuir de notre nation toutes les entreprises qui avaient un rôle important dans l'économie et l'emploi de notre pays.
Cet anticapitalisme a manifestement contribué à consolider la pauvreté, la montée du chômge et l'insécurité dans notre pays.
Et si vous n'êtes pas informé de tout cela c'est à cause des "médias trotskistes qui ne donnent la parole qu'aux idéologues socialistes, communistes et altermondialistes, mais jamais aux patrons d'entreprises". La pauvresse a été citée par CSP et Marie Antoinette. Ses amis commencent même à rameuter du monde pour aller troller chez ceux qui osent se moquer d'un tel niveau de connerie. Et attention, nous ne l'avez peut-être pas encore remarqué, mais La France est dans le même sac que Cuba et la Corée du nord. C'est ce qu'elle écrit sur son blog. Nous devons donc tous être victimes d'hallucinations collectives...