En ce moment je passe pas mal de temps sur Dark Souls, « additivité » oblige j’en suis à plus de 25 heures de jeux. Bref autant vous le dire dessuite c’est que du bonheur. Je n’ai pas pu attendre le test pour vous dévoiler mes impressions sur le jeu, du coup voilà un premier avis en terre hostile sur Dark Souls.
J’étais déjà un joueur de Demon’s Souls, donc j’avais déjà bien en main le gameplay du jeu. D’ailleurs sachez que même si les 2 jeux n’ont pas le même nom il s’agit pour moi clairement d’une suite tellement les mécanismes des deux jeux ceux ressemblent. Bon évidement il y a eu pas mal de nouveautés bonne ou mauvaise, comme par exemple les serments ou les feu de camp ; je vous expliquerez cela plus en détail durant le test du jeu, pour l’instant je vais m’attarder essentiellement sur mon ressenti en jeu.
Ce qui est bien dans Dark Souls, c’est cette difficulté addictive, qui à chaque mort me pousse à aller de l’avant. Franchement les niveaux en eux même ne sont guère révolutionnaire, mais les créatures qui jaillisse sur notre chemin, procure des combats réellement épique, ou votre dextérité sera mise à l’épreuve ; un peu comme dans Monster Hunter, ou c’est le skill qui prime sur l’équipement. C’est d’ailleurs ce dernier point qui doit me rendre tant addict à ce genre de jeux, et pas forcément la difficulté. Car bien que cette dernière soit réellement présente, cela ne sera que pour les premières heures que le jeu sera vraiment ardu, car une fois les mécaniques du jeu assimilé, les coups d’épées s’enchainent sans trop de mal. Cependant une certaine frustration peut naître quand lors d’un donjon vous mourrez vers la fin de celui-ci avec au compteur pas mal d’âmes , et la vous savez qu’elles sont probablement perdu. Au début cela peut paraître sévère, mais au final sa nous pousse à nous surpasser et nous donne envie de continuer.
Les raisons qui me poussent à aimer Dark Souls sont les mêmes qui m’on fais aimer Demon’s Souls. A savoir, sa demande de maitrise du gameplay (l’humain progresse en même temps que le personnage), ses boss imposants, qui une fois vaincu, nous procure un grand sentiment de fierté ; ses armures stylé, mais surtout ses à côté. Je m’explique dans Dark Souls il y plusieurs marchant, ou PNG qui au court de votre aventure auront un rôle à jouer. Vous pourrez donc très bien décider de tué n’importe lequel de ces PNJ, mais il faudra alors assumer votre acte, ce qui signifie que vous vous priverez de certains items ou sorts spéciaux qu’aurez pu vous donner le dit PNG. Car oui dans Dark Souls chaque PNJ que vous croiserez à son importance, il n’ai pas la juste pour faire jolie.
Autre atout de Dark Souls, son mode coop original qui permet d’alerter les autres joueurs via des messages que l’on peut poser un peu partout dans les niveaux. Le système est le même que dans Demon’s Souls. On peut toujours invoquer d’autres joueurs sous forme de fantôme pour nous aider dans la progression du donjon, du coup le jeu prend une certaine dimension MMO, qui n’ai pas déplaisante. A noter tout de même qu’il est plus délicat de jouer avec ses potes que dans le premier volet. L’aspect monde ouvert qu’a pris Dark Souls au regard de son grand frère, donne une réel impression de progresser dans un royaume. Mais ne vous y trompez pas, ici pas de grand plaine façon Skyrim, cela ressemble plus à un ensemble de donjon coller les uns au autres. Au début cela m’a rebuté, mais franchement avec le temps j’y ai pris gout.
Bref vous l’aurez compris j’adore Dark Souls pour les mêmes raisons que j’adore Demon’s Souls. Donc si vous avez aimé le Demon’s, n’hésitez pas Dark Souls est excellent .