Black Keys à Paris

Le duo américain de blues-rock  la saveur puissante, et de la vieille école Black Keys qui seront au Zénith de Paris le 25 Janvier prochain, (http://www.zenith-paris.com/index2.php?s=1&k=&p=1) sont entrain de rentrer dans le panthéon en terme du nombre d’albums vendus. Malgré leur succès, et contrairement à d’autres artistes, les membres du groupes, le guitariste Dan Auerbach et le batteriste Patrick Carney peuvent vivre normalement. Il est normal pour eux d’aller boire un verre, ou aller faire du shopping sans que personne ne les reconnaissent. Originaire de Akron dans l’Ohio, Leur succès a connu une croissance progressive sans soigner leur image, et pourtant leur disque est devenu le plus vendu jusqu’à aujourd’hui avec leurs chanson El Camino, de l’album Brother grace à des paroles simples (tout en lettre blanche à part le nom du groupe qui apparait en rouge sur un fond noir) comme “Ceci est un album de Black keys. Le nom de cet album st Brothers”.

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Paradoxalement, ils prouvent que l’absence d’une image constitue une image propre, et il serait absurde de prétendre d’être en marge de celle-ci. Le disque a remporté un Grammy pour la meilleur présentation. 
Dans leur Akron natale, Auerbach, et Carney ont toujours été considérés des personnages bizarres, et déconnecté du monde. Ils étaient passionné par les maquettes jusqu’au jour ou ils décidèrent de former un groupe de rock. Durant cette époque, Auerbach écoutait des groupes dark de blues, et de hip-hop, tandis que Carney écoutait des groupes indépendants, laissa de coté la guitare en raison de son cruel manque de talent, pour passer à la batterie qu’il a fondamentalement appris seul. Pour Auerbach ceci est un signe de force comme percussioniste ” Il ne sait meme pas jouer un morceau rock basique. Il existe beaucoup de musiciens meilleurs techniques mais personne créent des sons aussi originaux. 
Pour leur premier concert, célébré dans une taverne de Cleveland en 2002, 8 personnes assistérent à l’exhibition, duquel il gagnèrent 10 Dollars, qui leur sembla merveilleux pendant longtemps, considérant qu’il voyageait dans tous les états-unis pour jouer dans des endroits vides. 
Paul Oilzum