Il est des endroits dans notre cité que l'on avait oubliée, pour ceux qui aiment les balades.
Oui, aux détours de telles rues ou de telles ruelles en ville ou même sur s'est pourtours nous découvrons et/ou redécouvrons un endroit et/ou un objet qui servit naguère à nos ainées.
C'est objet poser la comme sur une place publique pour que tout un chacun puisse jouir du bienfait de telles choses ou de tels autres, qui à l'époque de leurs créations avait une utilité réelle est était vue alors comme de grandes avancées pour la citée.
Je pense en particulier à l'éclairage public aux diverses pompes à eau, etc.
Ce qui me fait dire que le modernisme tel que nous le connaissons aujourd'hui n'est arrivé chez nous qu'assez tard en fait.
Je veux dire que, par exemple, l'eau courante, le gaz, l'électricité, etc., ne sont arrivé en masse qu'après-guerre entre les années 50 et 60 à Bernay.
Et en plus, s'est chose aujourd'hui futile furent installer que vers une certaine catégorie de la population, je veux dire que seules les familles dites aisées (bourgeoises) pouvez en jouir, car le petit peuple lui avait comme l'ont dit "Les cabinets au fond du jardin" et avait la douche commune sur le palier.
On rigole aujourd'hui de tous cela, mais cela pour ma part me permet de relativisé nos avancés vers le modernisme tel que nous le vivons à l'heure actuelle ou l'on croit que tous nous et acquis, que tout nous et dus en un claquement de doigts.
Oui, rendez-vous compte, on appuie sur un bouton et on à la lumière, on tourne un robinet mitigeur et hop ont à de l'eau chaude, etc.
Alors, oui, revoir ces endroits-là, qui pour moi doivent être préservés, pour ne pas que l'on oublie les us et coutumes de nos anciens.
C'est là pour moi qu'une réelle association du patrimoine populaire et ouvrier devrait œuvrer.
Car sachez que la machine a lavé le linge, la télévision, l'épluche-pomme de terre et le presse-purée sont née il y a moins d'un siècle.
Et je dirais même mieux (1) ils sont nés il n'y a (environ) que 70 ans seulement.
Un des grands commerçants du genre quincailler et marchands de nouveauté (décédé aujourd'hui) tenait le pavé haut, et ce depuis 70ans, repris aujourd'hui par ses fils, donc voilà.
J'avoue que cela nous semble tellement loin, long, mais hélas, dans l'histoire de l'humain cela équivaut si je puis comparer cela ainsi, juste à quelques heures de notre histoire avec un grand "H".
Donc, oui, on peut ici ou là en ville retombée sur des objets, des outils, des bribes du patrimoine populaire urbain et cela nous crée une bouffée d'air pur et nous permet de relativiser.
Car à l'heure de tous ses travaux "Cœur de pays" qui tue, quelque part, s'est parcelles, s'est moments de vies là, j'ai, malgré tous, bon espoir.
Alors, j'ai envie de dire à tous ceux qui ont un blog (entre autres) charge à vous, à nous de photographier tout cela le plus vite, le plus de fois possible, pour que nous aillions toujours en mémoire c'est doux objets du modernisme naissent.
Car nous sommes tellement emportés par cette vague (sorte de Tsunami) du modernisme exacerber que nous en oublions presque notre passé (2).
Heureusement alors qu'il y a encore des gens de bonnes volontés qui pour perpétué la mémoire de "Liliane Carpentier" (3) arpente rues et ruelles avec des groupes de touristes et/ou de Bernayens aillent en eux, soi l'envie de savoir et/ou pour certains de tous simplement retrouver quelques traces de leurs enfances.
Alors voilà, quelques anciens bouts de lavoirs ici, quelques anciennes publicités murales là, et enfin, quelques décorations de façades de maisons (bourgeoises) par-ci par-là.
Voilà pour ma part ce qui nous aide à ne pas se perdre de vue.
(1) Pour imité sympathiquement les fameux "Dupond - Dupond" de notre cher ami "Tintin".
(2) Pour voir quelques blogs sur la ville et aussi sur internet qui retracent bien toutes ces histoires-là.
(3) "Mémoires de Bernay" par Liliane Carpentier publié en 1995 aux éditions Pierann.
Photographie : "Pompe à eau - mini fontaine rue du chanoine Porée - Fontaien place Verdun" par le citadin hiver 2010 - hiver 2011®©.
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