" La Dame en noir" de Susan Hill

Angleterre, début du XXe siècle. Par un mois de novembre froid et brumeux, Arthur Kipps (joué par Daniel Radcliffe), jeune avoué londonien, est dépêché dans le nord du pays pour assister aux funérailles d’Alice Drablow, 87 ans, et trier ses papiers en vue d’organiser sa succession. À Crythin Gifford, village où Arthur Kipps pose ses valises, les habitants lui battent froid dès qu’il prononce le nom de feue Mme Drablow, unique occupante du Manoir des Marais, demeure isolée, entourée de marécages et uniquement accessible à marée basse. Lors de l’inhumation, dans une église quasi déserte, Arthur remarque la présence, un peu en retrait, d’une femme tout de noir vêtue, le visage émacié, comme rongée par une terrible maladie. Il l’aperçoit ensuite dans le cimetière, mais elle s’éclipse avant qu’il ait le temps de lui parler… Comme il l’apprendra peu à peu, une malédiction plane sur la famille Drablow… Il sort le 15 février 2012 aux Editions l'Archipel,200 pages, 18,24 € Prochainement adapté au cinéma par James Watkins, la Dame en noir est un roman d’épouvante où se mêlent fantômes, malédictions et manoirs hantés.