Prêts à affronter 2012
«2011, Année de transition», avions-nous titré dans notre éditorial (Revue mensuelle Interface) du mois de décembre de l’année dernière. Nous n’imaginions pas alors les révolutions arabes, la crise financière mondiale et… les bouleversements consécutifs au changement de paradigme voulu par le législateur fédéral en matière de santé. L’année fut, pour le moins, décoiffante! Alors que dire de 2012 qui serait, selon un scénario hollywoodien, annonciatrice de «fin du monde»?
Affirmons d’emblée cette conviction: non, 2012 ne sera pas la fin du monde mais elle constituera, dans notre secteur d’activités, une nouvelle étape marquée par les réformes introduisant les DRG et la nouvelle planification hospitalière. Dès le 1er janvier, la Clinique Générale-Beaulieu se confrontera à cette réalité qui a nécessité tant d’investissements, en matière économique et humain, pour répondre aux nouvelles exigences.
Dans cet environnement mondial et local aux contours incertains, où l’esprit d’entreprise exige toujours plus d’efforts et de détermination face à la multiplication des contraintes et à la tentation d’une régulation étatique accrue, nous voulons manifester notre volonté d’œuvrer à la pérennité de la médecine libérale, pratiquée dans notre clinique. Notre réputation en matière de qualité des soins et d’accueil des patients se confirme, année après année, à travers les enquêtes de satisfaction.
Relevons aussi une bonne nouvelle: la fin de la clause du besoin pour les cabinets médicaux. Cela ouvre des perspectives de développement ou de croissance, un mot qui ne devrait pas déplaire en 2012. Ensemble, avec le souci constant de la satisfaction de nos patients, et animés par la conviction que nous contribuons efficacement à leur bien-être, nous saurons relever ces défis. La Clinique Générale-Beaulieu se donne les moyens de sa réussite et celle-ci est le reflet d’un esprit d’équipe, à tous les échelons. »