Elle a les mots et elle a les mélodies, une jolie voix entêtante et la beauté des matins frais. Elle a de belles histoires et de beaux yeux et une justesse comme on en croise peu. Le petit train de sa vie l’a menée de Strasbourg à Paris, où elle est restée, parce que la ville de lumière, ça lui va bien au teint. Ses chansons comme des berlingots, un peu acides mais toujours sucrées. A 25 ans, elle a déjà pas mal joué la comédie et fait chavirer beaucoup d’objectifs d’appareil photo. Ca ne l’empêche de voir le monde qui l’entoure comme si c’était la première fois.
Elle, c’est Liza Manili (veuillez excuser ce passage dignement copiée-collée de la biographie de Liza, mais on n’aura jamais pu trouver de meilleurs mots pour la présenter)
Liza a la musique dans la peau (et dans l’âme) ! Elle a écrit ses premières chansons il y a quelques années et les a conçu avec le musicien Daniel Marsala (on peut citer les chansons Le Petit Train, On Se Le Dit Pas et Mourir de Toi, qui seront sur l’album à paraître le 27 février 2012). On peut aussi noter sa participation à l’album de Séverin « Cheesecake » sur la chanson Les Restes.
S’en est suivi un premier EP, avec des vidéos pour illustrer les titres et une version démo : Le Petit Train réalisée avec Séverin. Un EP qui était comme un bel avant-goût de l’album à venir (patience patience, moins de deux mois à tenir !)
Sur cet album, il y a une chanson où on s’amuse beaucoup, L’éclipse, que je trouve très « visuel ». D’ailleurs j’aime bien le commentaire de Lablonde Musique qui dit : « L’éclipse », titre complètement girly qui fleure bon la mauvaise foi féminine (bien légitime) quand il s’agit de se débarasser d’une concurrente aux atouts évidents.