C’est dire si aucune d’entre elles n’a confiance en sa voisine.
Cette nouvelle escalade du refus de prêter mérite une prise de positon politique contraignante, sans quoi les PME vont droit dans le mur en termes de liquidités.
Mais le sort des PME n’a depuis longtemps aucune importance pour le banquier standard, qui préfère et préférera toujours financiariser ses actifs que de les utiliser dans l’économie réelle: un pur scandale immoral et terrible accélérateur de la crise économique.