Elles sont nombreuses les voix qui affirment que la crise économique qu’est en train de vivre le monde occidental est un symptôme d’une crise beaucoup plus grande qui a au moins trois aspects, c’est à dire, la hausse du prix des aliments, la crise énergétique et le désastre écologique directement en relation avec l’incidence du genre humain dans l’accélération du réchauffement global (au rythme actuel la glace aura disparu complètement du Pôle Nord en été dans seulement quelques décades), devant lesquelles nos gouvernements, otages des intérêts des grandes corporations multinationales, ne semblent pas prêts à faire quoique ce soit ayant de véritable retombée (le récent sommet du climat de Durban fut incapable de sortir un accord limitant les émissions toxiques des pays et revint, comme tous les précédents, à reporter sine die le problème bien que pour la plupart des experts nous soyons déjà à court de temps).
Le pire semble être une fois de plus l’insistance de la part des autorités et des organismes officiels à nier le désordre et persister à maintenir la grande farce. Ainsi, alors que des organisations écologistes telles que Greenpeace déplorèrent à la fin du sommet le énième triomphe des grands contaminateurs sur les intérêts des citoyens et de la planète, la secrétaire des Nations Unies pour le changement climatique n’a pas hésité à qualifier ses résultats d’extraordinaires et à saluer le mode dans lequel cela présageait une nouvelle phase plein d’espoir.
Dans ce contexte, et bien que nettement insuffisants, nous pouvons seulement saluer les initiatives telles que celle de la ville de Paris d’offrir 300 véhicules électriques à la location — les Bluecar, alimentés par une batterie au lithium et polymères—selon un système semblable à celui des bicyclettes publiques (le système Vélib´), une autre des grandes idées de celles dont la capitale française fut pionnière et qui a un grand succès dans la majorité des villes où elle a été appliquée avec bonne volonté et pas seulement comme un nettoyage extérieur sans intérêt mais qui fonctionne réellement, comme c’est le cas lamentable et par chance moindre, de Valence.
On attend que ce système, appelé Autolib´, contribue à long terme http://www.only-apartments.com/translators/posts/edit/20602à faire que quelques 25.000 voitures en moins circulent dans la capitale et ses environs, améliorant de manière conséquente tant le trafic que les niveaux de contamination.
Il s’agit d’un pari audacieux et innovateur, dont la première phase débuta il y a 3 mois, qui aspire à montrer l’exemple et être imitée dans les principales villes du monde. A Paris et dans les 44 circonscriptions de la zone d’Île-de-France adhérant au projet, on calcule que chaque voiture électrique à louer évitera la circulation d’au moins cinq véhicules privés.
Le nombre de voitures électriques initiales, distribuées sur 250 points de stationnement, devra se multiplier par dix en l’espace d’un an, pour avoir 1100 points de location avec une moyenne de cinq véhicules.
Dotés de GPS, les Bluecars atteignent les 130km/heure et ont jusqu’à 250km d’autonomie. Cela vous plairait peut-être de profiter de ses avantages dans appartements à Paris
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