D'après ses doctes explications, l'assassin qui rôde dans la fac aurait tranché la langue de sa victime -entre autres délicatesses - pour l'empêcher de dire le mal.
Déduction oiseuse ? Sûrement pas. Une seconde victime vient d'avoir, elle, l'oreille coupée. Pour l'empêcher d'entendre le mal, c'est évident. Et en bonne logique, l'assassin ne devrait pas s'en tenir là.
Mais qui donc a vu le mal ? En clair, à qui va-t-il devoir arracher les yeux ?
Éditions LE MASQUE