Hacker vaillant, rien d'impossible, parait-il. Depuis deux jours, Vindicateur, le métaguide qui gratte là où ça démange, est aux abonnés absents. Son serveur dédié a implosé sous les coups de butoir d'un tâcheron informatique, formé aux opérations commando et à la guerre informatique chirurgicale. Vindicateur spécifiquement visé, voudrait-on l'empêcher de triompher au prochain Wine Blog Trophy? Espère-t-on museler ainsi le provocateur délibéré qu'est Antonin Iommi-Amunategui, dont le nom est aussi difficile à écrire qu'à prononcer, pour quelqu'un qui ne serait ni basque, ni chilien, ni chien fou, ni parisien? Antonin Iommi n'a pas que des amis, c'est une évidence, et ce n'est pas William Fèvre ni sa copine Marine qui diront le contraire. J'espère que tous ces gens-là ont un bon alibi. AIA, pour faire encore plus court et pratique, n'a pas sa plume dans sa poche et compte bien continuer à la ramener, au mépris de tous ses détracteurs, même les plus fumeux, y compris Massey-Ferguson.
En gros, le message d'Antonin à l'intention de ses ennemis fourbes et invisibles est on ne peut plus clair:
"#%'è"2ç^^$<* de pirate !"
Auquel on peut rajouter, sans vergogne et de ma part
:ou encore:
De biens beaux jurons dessinés empruntés à Franquin et Uderzo et qui transcrivent tout à fait le fond de la pensée de tous les internautes orphelins du Vindicateur depuis déjà 48 heures et qui peinent encore à s'en remettre.
Que l'on se rassure, Vindicateur n'est pas mort, Antonin banderille encore, tel un jeune taureau lâché dans l'arène, prêt à en découdre avec tous les empêcheurs de vindiquer en rond.
Olif
P.S.: grillé sur le fil par un pro de l'info et du Morgon, il n'y a pas à rougir! Et tous solidaires.