Vous pouvez à loisir :
- vous prendre pour un inventeur de métiers, provoquer les vocations, effacer la distinction entre rémunéré et uniquement reconnu d’utilité
- nous parler du vôtre (et oui, je confirme : maman en est un ! Non mais alors !)
- nous ouvrir des archives et reprendre un vieux métier, son appareillage, son univers, ses matières premières, ses clients, ses objectifs
- évoquer un enseignement précis arrivant jusqu’à un métier, mettre en surface la vocation, nous amener dans un cabinet, un atelier, un lieu de travail (en coulisses)
- nous révéler ce que vous vouliez faire tout petit et ainsi nous désigner ce qu’un métier a de symbolique
- nous préciser ce qu’un métier est supposé apporter à d’autres niveaux qu’économiques
- nous amuser avec des ambigüités professionnelles (« Le journal d’un tueur sentimental » de Luis SEPULVEDA)
- nous proposer un personnage reconnu pour un métier particulier et brosser son portrait (ex : une mise en lumière du livre « Un léopard sur le garrot » de Jean-Christophe RUFIN)
L’imaginaire, ici, n’est qu’une façon de vous amener à partager : de l’imaginaire, du réel, de la passion. Les Passeurs ne font que regrouper certaines envies de partage pour pousser tous les autres à rebondir avec leurs propres ressentis et émotions. Les Passeurs d’imaginaires ne seraient rien sans vous : ceux qui participent, ceux qui lisent et redemandent d’autres ouvertures inter-blogs. Merci !