Thierry Wasser, le nez de la maison Guerlain, réussit un coup de maître avec sa dernière création. Parfait exemple du luxe à la française, la nouvelle fragrance «Paradis interdit» en envoûtera plus d’une, grâce à ses notes de fleurs blanches, de bois rare et de muscs blancs, le tout relevé d’une touche miellée. Disponible en seulement 57 exemplaires, ses propriétaires auront de quoi faire des envieuses…
Le flacon est à l’image de la fragrance : classique, délicat et élégant. Pour cette douce occasion parfumée, la maison Guerlain s’est associée à la Cristallerie Baccarat, la célèbre manufacture de cristal créée en 1764 par Louis XV en Meurthe-et-Moselle. Le flacon, en forme d’abeille, est un clin d’oeil à l’histoire de la marque. Icône fondatrice de la maison Guerlain, l’abeille y fait son entrée dès 1853 avec l’Eau de Cologne Impériale, spécialement produite pour l’impératrice Eugénie.
Guerlain et Baccarat n’en sont pas à leur premier coup d’essai. La cristallerie avait déjà séduit la marque grâce à son modèle «chauve-souris», en cristal massif incolore, pour le célèbre et intemporel parfum Shalimar. En forme d’urne côtelée sur piédouche facetté, sertie d’un bouchon éventail sur sa partie haute, Baccarat a réussi à allier classique et élégance, deux codes artistiques chères à Guerlain et qui font sa singularité. Pour «Paradis interdit», le flacon Abeille, en cristal et or fin, mais aussi peint à la main à l’intérieur des ailes pour mieux réfléchir la lumière, joue les divas.
Thierry Wasser, l’un des meilleurs nez de sa génération, réussit une véritable prouesse avec «Paradis Interdit». Encore une fois, l’heure est à la classe légendaire et intemporelle. Excepté les 57 uniques chanceuses au monde qui pourront se targuer de posséder un exemplaire de Paradis Interdit, jamais un parfum n’aura si bien porté son nom.