Troisième et dernière partie de notre deuxième débat consacré à la J-music. L’occasion de se pencher sur les gens qui y travaillent et sur le rayonnement de ce genre musical à travers les médias.
La J-music est-il un milieu solitaire ? Qu’est-ce qui poussent ses acteurs à s’investir autant pour une réussite incertaine ? Et quel est le meilleur intermédiaire médiatique pour le grand public : radio, web, presse généraliste ou télévision ?
Pour avoir un début de réponse, lisez ce qui suit ;)