À la suite de ma chère Souris, je vous envoie mes meilleurs bêlements (les moins enrhumés) pour 2008, en vous souhaitant de grands prés d'herbe grasse, à dévorer impudemment. J'essaierai de poster avant mon séjour dans la Grosse Pomme, la semaine prochaine.
D'ici là, le froid commence à pénétrer jusqu'aux os (on a frôlé les -30 ressenti aujourd'hui), à s'infiltrer, vicieux et méthodique, entre les mailles de mes peaux successives, et visite tous les calfeutrements. Jamais je n'ai eu autant l'impression d'être examiné et sondé que lors de cette demi-heure malmenée dans le vent. Ce pays ne triche pas.
À la prochaine note, je ne parlerai plus de météo. Promis.