Pour être franc, je ne suis pas absolument certain d'avoir envie de m'habiller chez les tailleurs de Saville Road. Peut-être, si je devais un jour hériter d'un éventuel parent fortuné, irais-je fêter ma sortie de deuil avec un veston fraise écrasée coupé par Oswald Boateng, mais rien de plus.
Pourtant, je dois admettre que cet univers me fascine qui voit les hommes les plus puissants de la planète devenir de disciplinés élèves devant ces maîtres que sont les tailleurs pour hommes. Le maître n'est pas toujours celui que l'on croit...